L’étau judiciaire se resserre un peu plus autour de Madiambal Diagne. Selon les informations de L’Observateur, le président du Collège des juges d’instruction du Pool judiciaire financier (PJF), Idrissa Diarra, a ordonné la saisie des biens mobiliers, immobiliers et comptes bancaires appartenant au journaliste en fuite, à son épouse Mabinta Diaby, ainsi qu’à leurs fils Mouhamed et Serigne Saliou.
Une fortune sous scellés
Toujours d’après L’Observateur, la DIC (Division des Investigations Criminelles) a reçu l’ordre de procéder à la saisie de plusieurs biens d’une valeur considérable. Parmi eux, figurent une somptueuse villa à la Cité Djily Mbaye, un immeuble de trois étages à la Cité Batrain, un autre à Yoff Virage et un impressionnant bâtiment de seize niveaux, encore en construction, érigé sur la route du Monument de la Renaissance, au niveau de la Corniche-Ouest.
Mais les mesures ne s’arrêtent pas aux pierres et aux murs. Le juge a également ordonné la saisie de la Mercedes appartenant à Mme Mabinta Diaby, ainsi que la réquisition des relevés bancaires auprès de la CBAO, de la NSIA Bank et de la UBA. Les comptes au nom de Mabinta Diaby et de son entreprise Bee Ingénierie, dirigée par leur fils Mouhamed Diagne, sont directement visés par cette procédure.
Un mandat d’arrêt international et un scandale tentaculaire
En fuite en France, Madiambal Diagne fait désormais l’objet d’un mandat d’arrêt international. L’ancien patron de presse est accusé d’association de malfaiteurs, escroquerie portant sur des deniers publics et blanchiment de capitaux, le tout dans le cadre d’un groupe criminel organisé.
Son épouse, ses deux fils et un proche, Oumar Ibrahima Mbaye, ont quant à eux été arrêtés après son départ précipité du Sénégal. Tous sont cités dans un vaste dossier financier dont les ramifications touchent plusieurs institutions.
Un contrat de 250 milliards dans le viseur de la CENTIF
À l’origine de ce tsunami judiciaire : un rapport accablant de la CENTIF (Cellule nationale de traitement des informations financières). Ce document évoque des transactions douteuses liées à un contrat de 250 milliards de francs CFA, destiné à la modernisation et à la construction d’infrastructures de la Justice.
Des flux financiers jugés anormaux auraient transité par des comptes appartenant à la famille Diagne et à leurs sociétés, alimentant les soupçons de blanchiment de capitaux.
Une fortune sous scellés
Toujours d’après L’Observateur, la DIC (Division des Investigations Criminelles) a reçu l’ordre de procéder à la saisie de plusieurs biens d’une valeur considérable. Parmi eux, figurent une somptueuse villa à la Cité Djily Mbaye, un immeuble de trois étages à la Cité Batrain, un autre à Yoff Virage et un impressionnant bâtiment de seize niveaux, encore en construction, érigé sur la route du Monument de la Renaissance, au niveau de la Corniche-Ouest.
Mais les mesures ne s’arrêtent pas aux pierres et aux murs. Le juge a également ordonné la saisie de la Mercedes appartenant à Mme Mabinta Diaby, ainsi que la réquisition des relevés bancaires auprès de la CBAO, de la NSIA Bank et de la UBA. Les comptes au nom de Mabinta Diaby et de son entreprise Bee Ingénierie, dirigée par leur fils Mouhamed Diagne, sont directement visés par cette procédure.
Un mandat d’arrêt international et un scandale tentaculaire
En fuite en France, Madiambal Diagne fait désormais l’objet d’un mandat d’arrêt international. L’ancien patron de presse est accusé d’association de malfaiteurs, escroquerie portant sur des deniers publics et blanchiment de capitaux, le tout dans le cadre d’un groupe criminel organisé.
Son épouse, ses deux fils et un proche, Oumar Ibrahima Mbaye, ont quant à eux été arrêtés après son départ précipité du Sénégal. Tous sont cités dans un vaste dossier financier dont les ramifications touchent plusieurs institutions.
Un contrat de 250 milliards dans le viseur de la CENTIF
À l’origine de ce tsunami judiciaire : un rapport accablant de la CENTIF (Cellule nationale de traitement des informations financières). Ce document évoque des transactions douteuses liées à un contrat de 250 milliards de francs CFA, destiné à la modernisation et à la construction d’infrastructures de la Justice.
Des flux financiers jugés anormaux auraient transité par des comptes appartenant à la famille Diagne et à leurs sociétés, alimentant les soupçons de blanchiment de capitaux.
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