Le Sénégal, à travers sa Contribution Déterminée au niveau National (CDN), se fixe un objectif conditionnel de 23,7% et 29,5% de réduction des émissions de GES respectivement en 2025 et 2030. « Nous nous réjouissons de la tenue d’un tel évènement qui est d’une importance capitale pour les acteurs que nous sommes et qui s’inscrit en droite ligne de la stratégie et des perspectives de La Banque Agricole en matière de financement durable. Aujourd’hui, il est démontré qu’aucun pays n’est à l’abri des effets du changement climatique, particulièrement ceux en développement qui se singularisent par un niveau de vulnérabilité assez élevé de leurs économies et de leurs populations... », a déclaré, le directeur général de la Banque Agricole, Malick Ndiaye.
En effet, les dérèglements du climat doublés des effets récents de la pandémie du Covid-19 impactent fortement sur les activités de production particulièrement celles du secteur primaire sur lequel repose une bonne partie de notre croissance.
Selon la Banque mondiale, notre secteur primaire est exposé à des changements profonds. En effet, l’activité agricole, l’exploitation des forêts et les modèles intensifs d’utilisation des terres contribuent au changement climatique puisqu’ils sont à l’origine d’émissions de gaz à effet de serre (GES).
Le secteur privé, générateur d’emplois et de croissance est fortement attendu dans la contribution à l’atteinte de cette ambition en plus de l’apport public par les institutions multilatérales de développement et les PTF du Sénégal.
Par ailleurs, les financements du secteur privé en vue d’une croissance résiliente et sobre en carbone, s’ils sont bien conçus et mis en œuvre, en plus de contribuer à l’atteinte des objectifs de la CDN, pourraient également aider notre pays à lutter contre la pauvreté et les inégalités.
Un dialogue salué à sa juste valeur par les secteurs présents et par le secrétaire du ministre de l'économie et du plan et de la coopération. Il ajoute que le gouvernement est là pour les accompagner pour qu'en cas de problème, il prenne en charge et trouve des solutions pour que l'économie de notre pays puisse être satisfaite même en cas de crise sanitaire ou de guerre, comme la Covid-19 et la guerre en Ukraine.
En effet, les dérèglements du climat doublés des effets récents de la pandémie du Covid-19 impactent fortement sur les activités de production particulièrement celles du secteur primaire sur lequel repose une bonne partie de notre croissance.
Selon la Banque mondiale, notre secteur primaire est exposé à des changements profonds. En effet, l’activité agricole, l’exploitation des forêts et les modèles intensifs d’utilisation des terres contribuent au changement climatique puisqu’ils sont à l’origine d’émissions de gaz à effet de serre (GES).
Le secteur privé, générateur d’emplois et de croissance est fortement attendu dans la contribution à l’atteinte de cette ambition en plus de l’apport public par les institutions multilatérales de développement et les PTF du Sénégal.
Par ailleurs, les financements du secteur privé en vue d’une croissance résiliente et sobre en carbone, s’ils sont bien conçus et mis en œuvre, en plus de contribuer à l’atteinte des objectifs de la CDN, pourraient également aider notre pays à lutter contre la pauvreté et les inégalités.
Un dialogue salué à sa juste valeur par les secteurs présents et par le secrétaire du ministre de l'économie et du plan et de la coopération. Il ajoute que le gouvernement est là pour les accompagner pour qu'en cas de problème, il prenne en charge et trouve des solutions pour que l'économie de notre pays puisse être satisfaite même en cas de crise sanitaire ou de guerre, comme la Covid-19 et la guerre en Ukraine.
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