Représentant le président de la République Bassirou Diomaye Faye aux réunions institutionnelles de l’Union Internationale du Notariat, le Garde des Sceaux, ministre de la Justice, Ousmane Diagne, a pris la parole pour délivrer un message axé sur le thème : « Le système foncier sénégalais, à l’épreuve de l’immatriculation ». Devant son homologue du Bénin, Yvon Detchenou, du président de l’Union Internationale du Notariat, Me Lionel Galliez, et de la présidente de la Chambre des Notaires du Sénégal, Me Aïda Diawara Diagne, le ministre de la Justice du Sénégal s’est réjoui que Dakar accueille ces réunions. Après avoir salué l’engagement de la présidente de la Chambre des Notaires du Sénégal et son rôle dans le système juridique, économique et social du Sénégal, le ministre Ousmane Diagne a précisé que ces rencontres qui se tiennent à Dakar viennent à point nommé. En effet, le Sénégal, tout comme le continent africain, s’est globalement engagé dans une dynamique de réformes foncières. Le thème également se justifie à bien des égards, selon le Garde des Sceaux, ministre de la Justice, qui rappelle que « cette initiative des notaires rejoint la politique nationale en matière foncière ».
Les débats, qui tournaient autour de l’immatriculation foncière, ont été bien encadrés par le ministre de la Justice Ousmane Diagne qui, dans son discours devant le monde notarial, a évoqué « le déficit d’investissement, de financement et de croissance ». Selon le représentant du chef de l’État, « ce forum, dont il assiste à l’ouverture, va revisiter tous ces enjeux à la lumière des réalités du terrain et des cadres juridiques comparés ».
La spéculation foncière : l’autre défi à considérer
Même si l’on parle de problèmes d’immatriculation des terres au Sénégal, il ne faut pas non plus perdre de vue, selon le ministre de la Justice, la question de la spéculation foncière. En réalité, poursuit le ministre Ousmane Diagne, « il faut de l’encadrement pour éviter ces spéculations foncières, car si elles y échappent, les déséquilibres seront nombreux et pourront constituer des sources de conflits majeurs ». Il ne faut également pas perdre de vue qu’au Sénégal, la question foncière est d’abord un facteur d’équité et de justice sociale : « Nous avons avec la terre un attachement profond », a considéré le ministre.
Un accès équitable au foncier
Toutefois, revenant au thème central, Ousmane Diagne a indiqué que l’absence d’immatriculation sécurisée des terres constitue un frein majeur au développement, un obstacle à la justice sociale et une source de conflit latent. Aux notaires venus d’Afrique et à ceux du Sénégal, notamment à la Chambre des Notaires du Sénégal, le ministre Ousmane Diagne a réaffirmé la volonté de l’État du Sénégal que cette question liée à l’immatriculation foncière est une forte priorité du gouvernement : « L’objectif reste un accès équitable au foncier pour chaque citoyen, aujourd’hui et pour les générations futures », a rassuré le Garde des Sceaux.
Les débats, qui tournaient autour de l’immatriculation foncière, ont été bien encadrés par le ministre de la Justice Ousmane Diagne qui, dans son discours devant le monde notarial, a évoqué « le déficit d’investissement, de financement et de croissance ». Selon le représentant du chef de l’État, « ce forum, dont il assiste à l’ouverture, va revisiter tous ces enjeux à la lumière des réalités du terrain et des cadres juridiques comparés ».
La spéculation foncière : l’autre défi à considérer
Même si l’on parle de problèmes d’immatriculation des terres au Sénégal, il ne faut pas non plus perdre de vue, selon le ministre de la Justice, la question de la spéculation foncière. En réalité, poursuit le ministre Ousmane Diagne, « il faut de l’encadrement pour éviter ces spéculations foncières, car si elles y échappent, les déséquilibres seront nombreux et pourront constituer des sources de conflits majeurs ». Il ne faut également pas perdre de vue qu’au Sénégal, la question foncière est d’abord un facteur d’équité et de justice sociale : « Nous avons avec la terre un attachement profond », a considéré le ministre.
Un accès équitable au foncier
Toutefois, revenant au thème central, Ousmane Diagne a indiqué que l’absence d’immatriculation sécurisée des terres constitue un frein majeur au développement, un obstacle à la justice sociale et une source de conflit latent. Aux notaires venus d’Afrique et à ceux du Sénégal, notamment à la Chambre des Notaires du Sénégal, le ministre Ousmane Diagne a réaffirmé la volonté de l’État du Sénégal que cette question liée à l’immatriculation foncière est une forte priorité du gouvernement : « L’objectif reste un accès équitable au foncier pour chaque citoyen, aujourd’hui et pour les générations futures », a rassuré le Garde des Sceaux.
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