Le Syndicat des Pharmaciens Privés du Sénégal (SPPS) sonne l'alerte en raison de l'augmentation préoccupante de la pratique illégale de la pharmacie dans la ville sacrée de Touba. Le syndicat, dans un message adressé à Dakaractu, cible spécifiquement Messieurs Thierno Cissé et Abib Mbaye. Selon eux, ces derniers géreraient des dépôts pharmaceutiques illégaux respectivement en face des hôpitaux Cheikh Ahmadoul Khadim et Ndamatou.
D'après le SPPS, ces personnes font un usage abusif des emblèmes et signes officiels des pharmacies, trompant de ce fait le public et mettant potentiellement sa santé en danger.
En dépit d'une campagne de conscientisation initiée dès 2022, qui a inclus une entrevue avec le Khalife général des Mourides à la résidence Khadim Rassoul, les comportements critiqués ont perduré. Cela a conduit les pharmaciens à saisir la justice. Maître Fatou Ndiaye a dressé un constat d'huissier pour attester des faits, et deux affaires ont été programmées pour jugement les 17 juin et 1er juillet 2025 devant le Tribunal de Grande Instance de Diourbel. Selon les conseillers juridiques du syndicat, trois autres réclamations semblables sont actuellement sous enquête.
Le SPPS exhorte toutes les autorités étatiques, judiciaires, sanitaires et religieuses à s'unir pour mettre fin à ce qu'il considère comme un danger sanitaire d'ampleur. Le syndicat souligne avec insistance : « Il est inadmissible de sacrifier la santé des citoyens au nom du désordre et de l'absence de sanctions. » Par ce communiqué, les pharmaciens cherchent à provoquer une mobilisation collective pour abolir le commerce illégal de médicaments et sauvegarder la santé publique.
D'après le SPPS, ces personnes font un usage abusif des emblèmes et signes officiels des pharmacies, trompant de ce fait le public et mettant potentiellement sa santé en danger.
En dépit d'une campagne de conscientisation initiée dès 2022, qui a inclus une entrevue avec le Khalife général des Mourides à la résidence Khadim Rassoul, les comportements critiqués ont perduré. Cela a conduit les pharmaciens à saisir la justice. Maître Fatou Ndiaye a dressé un constat d'huissier pour attester des faits, et deux affaires ont été programmées pour jugement les 17 juin et 1er juillet 2025 devant le Tribunal de Grande Instance de Diourbel. Selon les conseillers juridiques du syndicat, trois autres réclamations semblables sont actuellement sous enquête.
Le SPPS exhorte toutes les autorités étatiques, judiciaires, sanitaires et religieuses à s'unir pour mettre fin à ce qu'il considère comme un danger sanitaire d'ampleur. Le syndicat souligne avec insistance : « Il est inadmissible de sacrifier la santé des citoyens au nom du désordre et de l'absence de sanctions. » Par ce communiqué, les pharmaciens cherchent à provoquer une mobilisation collective pour abolir le commerce illégal de médicaments et sauvegarder la santé publique.
Autres articles
-
Le comédien Moussa Seck sous les feux de la justice : Audience reportée, 8,84 millions à consigner pour espérer rejouer sa liberté
-
Yeumbeul-Comico : Une querelle entre colocataires vire au drame – Une ado de 15 ans poignarde une femme de 25 ans
-
18 SAFAR- Le Magal de Touba sacré patrimoine national : Va-t-on, inéluctablement , vers une reconnaissance UNESCO ?
-
Justice paralysée : La RADDHO monte au créneau pour sauver l’administration judiciaire sénégalaise
-
Kaolack - Samba Sadji sur les cas Badara Gadiaga, Samuel Sarr et Cie : "Leurs interpellations[...], semblent s’inscrire dans une logique de musèlement..."