La Division Nationale de Lutte contre le Trafic de Migrants et pratiques assimilées (DNLT), relevant de la Direction de la Police aux Frontières, a procédé, ce 8 octobre 2025, au déferrement de deux individus devant Monsieur le Procureur de la République près le Tribunal de Grande Instance Hors Classe de Dakar.
Le premier mis en cause a été interpellé à l’Aéroport International Blaise Diagne (AIBD) alors qu’il tentait d’embarquer pour l’Espagne à l’aide d’un passeport congolais falsifié. Il est poursuivi pour usurpation d’identité et usage de faux documents administratifs.
Le deuxième mis en cause, une dame, est poursuivie pour association de malfaiteurs et complicité d’escroquerie au visa.
L’enquête a permis de mettre au jour un système d’escroquerie bien organisé, reposant sur la mise en relation de candidats à l’émigration avec un convoyeur censé leur obtenir des visas européens.
Selon ses aveux, la dame a collecté au total 10 000 000 FCFA, dont 3 000 000 FCFA auprès du premier mis en cause et 7 000 000 FCFA auprès de trois autres candidats.
Toutefois, une contradiction majeure est apparue : le premier mis en cause affirmait devoir payer le montant convenu “à l’arrivée”, tandis que la dame a reconnu avoir déjà remis les fonds au convoyeur pour la prétendue délivrance de visas pour l’Espagne — sans pouvoir en apporter la moindre preuve.
Les deux suspects ont été déférés devant le parquet, tandis que l’enquête se poursuit afin d’identifier et d’appréhender l’ensemble du réseau impliqué dans cette vaste escroquerie migratoire.
Le premier mis en cause a été interpellé à l’Aéroport International Blaise Diagne (AIBD) alors qu’il tentait d’embarquer pour l’Espagne à l’aide d’un passeport congolais falsifié. Il est poursuivi pour usurpation d’identité et usage de faux documents administratifs.
Le deuxième mis en cause, une dame, est poursuivie pour association de malfaiteurs et complicité d’escroquerie au visa.
L’enquête a permis de mettre au jour un système d’escroquerie bien organisé, reposant sur la mise en relation de candidats à l’émigration avec un convoyeur censé leur obtenir des visas européens.
Selon ses aveux, la dame a collecté au total 10 000 000 FCFA, dont 3 000 000 FCFA auprès du premier mis en cause et 7 000 000 FCFA auprès de trois autres candidats.
Toutefois, une contradiction majeure est apparue : le premier mis en cause affirmait devoir payer le montant convenu “à l’arrivée”, tandis que la dame a reconnu avoir déjà remis les fonds au convoyeur pour la prétendue délivrance de visas pour l’Espagne — sans pouvoir en apporter la moindre preuve.
Les deux suspects ont été déférés devant le parquet, tandis que l’enquête se poursuit afin d’identifier et d’appréhender l’ensemble du réseau impliqué dans cette vaste escroquerie migratoire.
Autres articles
-
Les Etats-Unis pourraient refuser un visa pour cause d'obésité
-
Gaza : le CICR a reçu la dépouille d'un des quatre derniers otages, selon l'armée israélienne
-
Soudan : attaques de drones sur une ville du nord, combats au Kordofan
-
Mali : libération d'un opposant emprisonné pour « offense » au chef de la junte burkinabè
-
Non-respect des accords signés en 2022 : Le G7 décrète un débrayage et une grève totale pour le 18 et 19 novembre 2025




