Toute une centrale composée de plus de quatre-vingt décodeurs et des câbles optiques qui servaient d’alimentation ont été coupés après l’intervention des forces de l’ordre dans le quartier de Thiokhna (Louga). Les câblodistributeurs étaient ensuite très nombreux au Commissariat central de la ville pour les besoins d’une enquête.
Taille moyenne, en jean bleu et chemise beige, Ndiack Kane, président du GIE And Ligeye du comptoir Lougatoise technologie appliqué (COLOTA), lance un appel solennel au Président de la République, Macky Sall. Très en colère, il est convaincu qu’à l’ère du numérique, les populations ne devaient vivre une autre forme de colonisation. « On a notre GIE qui est juridiquement reconnu. Mais on veut nous empêcher de faire notre travail », peste-t-il.
Pour M. Kane, cette opération est un complot planifié de concert avec les responsables de la chaine cryptée. « On ne laissera pas passer car il y a au moins 120 pères ou soutiens de familles qui s’activent dans ce Réseau. Ils veulent qu’on aille agresser ou voler les gens. Mais on refuse de tomber si bas », réplique le président des câbleurs de Louga.
Après plusieurs heures d’attente devant la Police, les représentants de Canal+ n’ont pas voulu répondre à notre interpellation. Du côté des limiers, l’enquête suit son cours. Le moment opportun, la lanterne des ‘’Ndiambour Ndiambour’’ sera édifiée. Un tour dans certaines maisons pour vérifier l’ampleur des dégâts causés par la rupture d’alimentation en images, c’est la désolation totale. Cheikh Talibouya Fall, la quarantaine, regrette une telle situation. « Ils ont coupé le signal au mauvais moment. Nous sommes en période du mois béni et la télé joue un rôle très important pour alléger un peu la souffrance du jeûne », pleure ce chef de famille de cinq enfants.
Ayant à peine terminé sa phrase, madame lui emboîte le pas : « La chaleur accablante qui sévit à Louga, nos enfants ne pourront regarder les séries. Il faut que les autorités trouvent une solution définitive à ce problème. » Jusqu’ici, la ville de Louga ne dispose de télévision numérique terrestre (TNT).
Taille moyenne, en jean bleu et chemise beige, Ndiack Kane, président du GIE And Ligeye du comptoir Lougatoise technologie appliqué (COLOTA), lance un appel solennel au Président de la République, Macky Sall. Très en colère, il est convaincu qu’à l’ère du numérique, les populations ne devaient vivre une autre forme de colonisation. « On a notre GIE qui est juridiquement reconnu. Mais on veut nous empêcher de faire notre travail », peste-t-il.
Pour M. Kane, cette opération est un complot planifié de concert avec les responsables de la chaine cryptée. « On ne laissera pas passer car il y a au moins 120 pères ou soutiens de familles qui s’activent dans ce Réseau. Ils veulent qu’on aille agresser ou voler les gens. Mais on refuse de tomber si bas », réplique le président des câbleurs de Louga.
Après plusieurs heures d’attente devant la Police, les représentants de Canal+ n’ont pas voulu répondre à notre interpellation. Du côté des limiers, l’enquête suit son cours. Le moment opportun, la lanterne des ‘’Ndiambour Ndiambour’’ sera édifiée. Un tour dans certaines maisons pour vérifier l’ampleur des dégâts causés par la rupture d’alimentation en images, c’est la désolation totale. Cheikh Talibouya Fall, la quarantaine, regrette une telle situation. « Ils ont coupé le signal au mauvais moment. Nous sommes en période du mois béni et la télé joue un rôle très important pour alléger un peu la souffrance du jeûne », pleure ce chef de famille de cinq enfants.
Ayant à peine terminé sa phrase, madame lui emboîte le pas : « La chaleur accablante qui sévit à Louga, nos enfants ne pourront regarder les séries. Il faut que les autorités trouvent une solution définitive à ce problème. » Jusqu’ici, la ville de Louga ne dispose de télévision numérique terrestre (TNT).
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