Les députés de l'Assemblée nationale sont présents depuis 9h sur le projet de loi sur le nouveau code de l’environnement qui abroge l'ancienne loi de 2001.
Plusieurs députés, particulièrement ceux de l’opposition, ont noté l’absence de prise en compte de plusieurs principes généraux du code de l’environnement. Birame Souleye Diop, Ayib Daffé, Ndeye Satala Diop, Sanou Dione, Ismaïla Diallo, tous ont pratiquement manifesté leurs préoccupations sur les manquements du code de l’environnement qui doit être voté. Plusieurs articles du code sont ainsi amendés provoquant un échange permanent qui a duré plusieurs heures.
Le député Ayib Daffé, considère qu’il faut permettre aux associations qui luttent pour l’environnement, d’avoir accès à la justice. Ils doivent disposer d’un agrément dans le cadre de la protection de la nature et de l’environnement. Ce qui ne figure pas dans le nouveau code. En effet, sur la gestion des déchets les députés de l’opposition ont aussi signalé l’urgence de leur valorisation et ceci, par divers mécanismes. Sur l’article 3 du nouveau code à voter, le député Birame Souleye Diop a fait un amendement notamment sur l’introduction de nouvelles dispositions et à améliorer quelques points qui étaient déjà retenus sur le précédent code. Il y a dans le code, des termes clairement définis, mais il y a d’autres qui restent confus. Le principe de prévention, selon les députés de Yewwi, n’a pas été bien pris en compte car, en droit de l’environnement, vaut mieux prévenir que guérir. Ces amendements ne sont « ni pertinents, ni opportuns », selon Abdou Mbow et ses camarades du groupe parlementaire Benno Bokk Yakaar.
Cependant, le projet 13/ 2023 portant code de l’environnement a été voté majoritairement par les députés de l’Assemblée nationale devant le ministre qui défendait le projet et qui se réjouit de la hauteur de la représentation nationale.
Plusieurs députés, particulièrement ceux de l’opposition, ont noté l’absence de prise en compte de plusieurs principes généraux du code de l’environnement. Birame Souleye Diop, Ayib Daffé, Ndeye Satala Diop, Sanou Dione, Ismaïla Diallo, tous ont pratiquement manifesté leurs préoccupations sur les manquements du code de l’environnement qui doit être voté. Plusieurs articles du code sont ainsi amendés provoquant un échange permanent qui a duré plusieurs heures.
Le député Ayib Daffé, considère qu’il faut permettre aux associations qui luttent pour l’environnement, d’avoir accès à la justice. Ils doivent disposer d’un agrément dans le cadre de la protection de la nature et de l’environnement. Ce qui ne figure pas dans le nouveau code. En effet, sur la gestion des déchets les députés de l’opposition ont aussi signalé l’urgence de leur valorisation et ceci, par divers mécanismes. Sur l’article 3 du nouveau code à voter, le député Birame Souleye Diop a fait un amendement notamment sur l’introduction de nouvelles dispositions et à améliorer quelques points qui étaient déjà retenus sur le précédent code. Il y a dans le code, des termes clairement définis, mais il y a d’autres qui restent confus. Le principe de prévention, selon les députés de Yewwi, n’a pas été bien pris en compte car, en droit de l’environnement, vaut mieux prévenir que guérir. Ces amendements ne sont « ni pertinents, ni opportuns », selon Abdou Mbow et ses camarades du groupe parlementaire Benno Bokk Yakaar.
Cependant, le projet 13/ 2023 portant code de l’environnement a été voté majoritairement par les députés de l’Assemblée nationale devant le ministre qui défendait le projet et qui se réjouit de la hauteur de la représentation nationale.
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