DAKARACTU.COM Parlons des confrontations, hier, à la CREI après que « Rimka Ibn Njomboor » ait refusé de parler pour balancer sa sauce via une lettre qui a été lue à ceux avec qui il était confronté. Selon « le Populaire », Rimka ne s'attendait certainement pas à la charge de Bara Tall. Et pour montrer aux juges que le fils Wade raconte ce qu'il veut, l'entrepreneur a démonté point par point ses accusations créant une terrible gêne chez son accusateur.
Quelques exemples parmi les nombreuses mises au point qu’il a faites au fils de Wade. S'agissant de «la haine et l'esprit revanchard qu'il aurait contre (sa) famille» dont parle Karim, Bara Tall lui a fait savoir que malgré tout ce qu'ils lui ont fait subir depuis 2004, personne ne l'a entendu une seule fois. Une posture adoptée exprès, malgré le fait que nul n'ignore ce qu'il a souffert avec les siens et ses entreprises.
Le patron de JLS, nous dit ‘’Pop’’, a rappelé qu'au plus fort de l'épreuve que lui ont fait subir Wade, son fils et son régime, il avait imploré Dieu de lui donner la force d'endurer les choses quoi qu'il advienne. Ce qu'il a pu réussir, même si les tourments créés sur sa tête par Wade et sa smalah ont fini par emporter son père. Et pour plus confondre Karim, il lui a fait savoir qu'il avait aussi demandé à Dieu de l'épargner de toute haine. Voeu exaucé parce qu'il n'est, depuis, intervenu dans le débat public et a même sursis au livre qu'il devait publier sur les épreuves qu'il a subies sous la férule du père, du fils et de leur régime.
Il lui a fait comprendre qu'il en aurait encore été ainsi si la justice ne l'avait pas convoqué, le 12 février dernier, pour l'interroger. A ce propos d’ailleurs, il a dit à Karim que contrairement à ses accusations, il s'en est juste arrêté à répondre aux questions qu'on lui a posées, qu'il n'en a pas rajouté, mais qu'il n'était pas question qu'il protège qui que ce soit.
Toujours selon le journal, Bara Tall a fait comprendre au fils de Wade qu'il ne tire pas sur une ambulance et que s'il pense qu'il lui en voudrait toute sa vie, il peut être rassuré. Lui veut regarder devant pour la reconstruction de ses entreprises et refuse de se laisser divertir par ce qui est désormais derrière lui. S'agissant maintenant du marché que Karim Wade dit avoir refusé de signer pour l'entrepreneur en 2010, Bara Tall en a longuement rigolé. Parce que cela démontre toute la stratégie de mensonges de son vis-à- vis. Cela n'a jamais pu se produire, dit-il, pour la bonne et simple raison que depuis 2006, son entreprise était presque morte et en 2010, on ne parlait plus de JLS. Donc à supposer que cela soit avant 2006 (avant le plan de liquidation de son entreprise), Karim n'était pas encore ministre. D'ailleurs, l'entrepreneur rappelle les positions tranchées des deux camps.
Quelques exemples parmi les nombreuses mises au point qu’il a faites au fils de Wade. S'agissant de «la haine et l'esprit revanchard qu'il aurait contre (sa) famille» dont parle Karim, Bara Tall lui a fait savoir que malgré tout ce qu'ils lui ont fait subir depuis 2004, personne ne l'a entendu une seule fois. Une posture adoptée exprès, malgré le fait que nul n'ignore ce qu'il a souffert avec les siens et ses entreprises.
Le patron de JLS, nous dit ‘’Pop’’, a rappelé qu'au plus fort de l'épreuve que lui ont fait subir Wade, son fils et son régime, il avait imploré Dieu de lui donner la force d'endurer les choses quoi qu'il advienne. Ce qu'il a pu réussir, même si les tourments créés sur sa tête par Wade et sa smalah ont fini par emporter son père. Et pour plus confondre Karim, il lui a fait savoir qu'il avait aussi demandé à Dieu de l'épargner de toute haine. Voeu exaucé parce qu'il n'est, depuis, intervenu dans le débat public et a même sursis au livre qu'il devait publier sur les épreuves qu'il a subies sous la férule du père, du fils et de leur régime.
Il lui a fait comprendre qu'il en aurait encore été ainsi si la justice ne l'avait pas convoqué, le 12 février dernier, pour l'interroger. A ce propos d’ailleurs, il a dit à Karim que contrairement à ses accusations, il s'en est juste arrêté à répondre aux questions qu'on lui a posées, qu'il n'en a pas rajouté, mais qu'il n'était pas question qu'il protège qui que ce soit.
Toujours selon le journal, Bara Tall a fait comprendre au fils de Wade qu'il ne tire pas sur une ambulance et que s'il pense qu'il lui en voudrait toute sa vie, il peut être rassuré. Lui veut regarder devant pour la reconstruction de ses entreprises et refuse de se laisser divertir par ce qui est désormais derrière lui. S'agissant maintenant du marché que Karim Wade dit avoir refusé de signer pour l'entrepreneur en 2010, Bara Tall en a longuement rigolé. Parce que cela démontre toute la stratégie de mensonges de son vis-à- vis. Cela n'a jamais pu se produire, dit-il, pour la bonne et simple raison que depuis 2006, son entreprise était presque morte et en 2010, on ne parlait plus de JLS. Donc à supposer que cela soit avant 2006 (avant le plan de liquidation de son entreprise), Karim n'était pas encore ministre. D'ailleurs, l'entrepreneur rappelle les positions tranchées des deux camps.
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