L’Unité de Gestion du Projet de Développement de l’Industrie pharmaceutique locale du Ministère de la Santé et de l’Hygiène publique (UGP) a organisé un atelier de facilitation et de co-construction, ce mercredi 19 novembre 2025. Le but recherché est d'accroître l’accès des industries pharmaceutiques du Sénégal à la commande publique.
D’après le Dr Mor Diagne, conseiller technique du ministre de la santé chargé de la pharmacie, l’objectif est de voir comment faire pour accroître l’accessibilité de la commande publique aux industriels sénégalais avec toutes les parties prenantes, à savoir CNPA mais également le marché public avec l’ARCOP, les industriels et également l’UGP qui est chargé de coordonner la relance ou le développement de l’industrie pharmaceutique. Il s’agit donc de voir les problématiques liées à la commande publique comment faire pour faciliter cet accès là sur le plan déjà réglementaire. Si l’on en croit ses propos, le marché du médicament sénégalais en ce moment tourne autour de 244 milliards avec une commande publique qui tourne autour de 24 milliards. C’est pour cela qu’il faut essayer de voir comment faire pour que ces 24 milliards là puissent être captés par l’industrie locale qui leur permettra aujourd’hui d’être sur une rampe de développement. Ceci en vue de permettre aux industriels locaux déjà installés de pouvoir avoir les piliers de leurs développements futurs parce qu’il y’a un marché beaucoup plus grand avec l’UEMOA et le marché de la CEDEAO qui tournent autour de 421 millions personnes. Mais également, même au-delà, le marché africain avec la zone ZLECAF qui tourne autour de 1,4 milliard d’habitants. Le tout dans une perspective pour le développement de l’industrie pharmaceutique à travers la souveraineté pharmaceutique dont l’objectif est de pouvoir gérer d’ici 2035, 50% de la consommation du médicament au Sénégal.
Pour le directeur général de Teranga Pharma, Mouhamadou Sow, il y a des contraintes réglementaires et administratives. C’est pour cette raison qu’il espère que cet atelier va permettre de pouvoir lever l’ensemble des contraintes, d’identifier tous les goulots d’étranglement qui permettront d'améliorer le taux de souveraineté pharmaceutique défini. Ce qui est donc une définition de 20% de souveraineté pharmaceutique en 2025, 30% en 2030 et 50% en 2035. Cet atelier va participer à l’accélération de l’atteinte de ces objectifs tout en espérant que les industriels pourront atteindre 50% de souveraineté pharmaceutique avant 2035.
D’après le Dr Mor Diagne, conseiller technique du ministre de la santé chargé de la pharmacie, l’objectif est de voir comment faire pour accroître l’accessibilité de la commande publique aux industriels sénégalais avec toutes les parties prenantes, à savoir CNPA mais également le marché public avec l’ARCOP, les industriels et également l’UGP qui est chargé de coordonner la relance ou le développement de l’industrie pharmaceutique. Il s’agit donc de voir les problématiques liées à la commande publique comment faire pour faciliter cet accès là sur le plan déjà réglementaire. Si l’on en croit ses propos, le marché du médicament sénégalais en ce moment tourne autour de 244 milliards avec une commande publique qui tourne autour de 24 milliards. C’est pour cela qu’il faut essayer de voir comment faire pour que ces 24 milliards là puissent être captés par l’industrie locale qui leur permettra aujourd’hui d’être sur une rampe de développement. Ceci en vue de permettre aux industriels locaux déjà installés de pouvoir avoir les piliers de leurs développements futurs parce qu’il y’a un marché beaucoup plus grand avec l’UEMOA et le marché de la CEDEAO qui tournent autour de 421 millions personnes. Mais également, même au-delà, le marché africain avec la zone ZLECAF qui tourne autour de 1,4 milliard d’habitants. Le tout dans une perspective pour le développement de l’industrie pharmaceutique à travers la souveraineté pharmaceutique dont l’objectif est de pouvoir gérer d’ici 2035, 50% de la consommation du médicament au Sénégal.
Pour le directeur général de Teranga Pharma, Mouhamadou Sow, il y a des contraintes réglementaires et administratives. C’est pour cette raison qu’il espère que cet atelier va permettre de pouvoir lever l’ensemble des contraintes, d’identifier tous les goulots d’étranglement qui permettront d'améliorer le taux de souveraineté pharmaceutique défini. Ce qui est donc une définition de 20% de souveraineté pharmaceutique en 2025, 30% en 2030 et 50% en 2035. Cet atelier va participer à l’accélération de l’atteinte de ces objectifs tout en espérant que les industriels pourront atteindre 50% de souveraineté pharmaceutique avant 2035.
Autres articles
-
Saint-Louis : Lutte contre les violences numériques, les acteurs s'engagent et sonnent la mobilisation
-
Cambriolage de la Résidence « Totem » à Saly: Trois vigiles accusés de négligence
-
Sangalkam : 5 membres d’un gang armé, arrêtés pour vol de bétail
-
Mairie de Rufisque : Un vaste réseau de falsifications de documents démantelé
-
Une poignée de main, un compte Wave vidé : S. Baldé vide son compte Wave après une simple salutation




