Alioune Tine d’Africa Jom Center estime que le dialogue doit être une arme puissante pour la « démocratie ». Il a fait cette annonce à Ziguinchor lors de l’atelier sur le thème du processus électoral présidentiel apaisé, crédible et inclusif. Ainsi, cette rencontre entre dans le cadre de la formation et de la sensibilisation des jeunes des partis politiques, syndicaux et de la société civile. En ce sens, il faut rappeler que la plupart des conflits en Afrique naissent souvent de la mauvaise organisation des élections. Et vu le contexte au Sénégal, il est important d'associer toutes les parties prenantes pour une élection paisible.
A en croire Alioune Tine « le défi judiciaire est en train de plus en plus d’être levé. D’ailleurs, la justice, de plus en plus, rassure. Cependant, nous avons des défis politiques qui sont encore plus grands avec le principal opposant dont la participation à l’élection n’est pas encore sûre et évidente. Cette situation demeure un défi pour n’importe quelle démocratie au monde. »
« Les états comme les nôtres sont des états fragiles avec des tensions et des violences souvent. Dans ce sillage, l’état ne peut pas réguler la situation. C’est pourquoi, très souvent, nous devons avoir recours au dialogue politique qui fait partie des solutions politiques pour permettre d’arrondir les angles. Et c’est à ce titre qu’il faut surtout voir tous les contentieux et toutes les incertitudes qui planent sur l’élection afin d’essayer de les lever par le dialogue. Et nous, nous pensons que le dialogue doit faire partie des outils de développement de la démocratie. »
« Le dialogue et la palabre sont des outils africains sur lesquels nous devons nous appuyer pour avoir la capacité de résilience démocratique et de droits de l’homme. »
Madou Diallo
A en croire Alioune Tine « le défi judiciaire est en train de plus en plus d’être levé. D’ailleurs, la justice, de plus en plus, rassure. Cependant, nous avons des défis politiques qui sont encore plus grands avec le principal opposant dont la participation à l’élection n’est pas encore sûre et évidente. Cette situation demeure un défi pour n’importe quelle démocratie au monde. »
« Les états comme les nôtres sont des états fragiles avec des tensions et des violences souvent. Dans ce sillage, l’état ne peut pas réguler la situation. C’est pourquoi, très souvent, nous devons avoir recours au dialogue politique qui fait partie des solutions politiques pour permettre d’arrondir les angles. Et c’est à ce titre qu’il faut surtout voir tous les contentieux et toutes les incertitudes qui planent sur l’élection afin d’essayer de les lever par le dialogue. Et nous, nous pensons que le dialogue doit faire partie des outils de développement de la démocratie. »
« Le dialogue et la palabre sont des outils africains sur lesquels nous devons nous appuyer pour avoir la capacité de résilience démocratique et de droits de l’homme. »
Madou Diallo
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