« Féminicides au Sénégal : Trop, c’est trop, Agissons maintenant ! », c’est le titre du communiqué de « actionaid » pour dire stop aux violences exercées sur les femmes. Cela fait suite au drame familial survenu à Fatick le dimanche dernier, au cours duquel Marie Louise a été abattue par son mari.
Selon la note, « le Sénégal traverse une période particulièrement sombre, marquée par une recrudescence alarmante des violences faites aux femmes, et plus particulièrement des féminicides. Ces meurtres de femmes, souvent perpétrés dans un contexte conjugal ou sexiste, se multiplient dans l’indifférence générale, endeuillant des familles et choquant l’opinion publique.
À cet effet, « ActionAid Sénégal exprime sa profonde indignation face à ces actes intolérables qui mettent en lumière les défaillances systémiques en matière de prévention, de protection et de justice pour les femmes victimes de violence. Ces féminicides ne sont pas de simples faits divers mais le reflet d’un système de violences structurelles, renforcé par le silence, l’impunité et la banalisation ».
Selon la note, « le Sénégal traverse une période particulièrement sombre, marquée par une recrudescence alarmante des violences faites aux femmes, et plus particulièrement des féminicides. Ces meurtres de femmes, souvent perpétrés dans un contexte conjugal ou sexiste, se multiplient dans l’indifférence générale, endeuillant des familles et choquant l’opinion publique.
À cet effet, « ActionAid Sénégal exprime sa profonde indignation face à ces actes intolérables qui mettent en lumière les défaillances systémiques en matière de prévention, de protection et de justice pour les femmes victimes de violence. Ces féminicides ne sont pas de simples faits divers mais le reflet d’un système de violences structurelles, renforcé par le silence, l’impunité et la banalisation ».

« Chaque femme tuée est une vie de trop. Chaque silence est une complicité »
Face à cette situation, ActionAid Sénégal lance un appel aux autorités, à reconnaître officiellement les féminicides comme une urgence nationale relevant à la fois des droits humains et de la sécurité publique. L'Ong exige l’application rigoureuse des lois existantes et la mise en place de mécanismes de protection efficaces pour les femmes en danger, demande le renforcement des campagnes nationales de sensibilisation sur les violences basées sur le genre, pour changer durablement les mentalités et les comportements. Enfin, elle invite à une réponse judiciaire exemplaire avec des poursuites systématiques, des jugements équitables et des sanctions dissuasives contre les auteurs de violences ».
Ainsi, « nous en appelons à l’ensemble de la société sénégalaise, citoyens, organisations de la société civile, leaders religieux et traditionnels, journalistes, parlementaires pour faire bloc contre ce fléau. Il est temps de sortir du silence, de briser les tabous et de dire haut et fort : Stop aux féminicides ! Le silence tue. L’inaction tue. L’heure est à l’action collective et urgente ».
Face à cette situation, ActionAid Sénégal lance un appel aux autorités, à reconnaître officiellement les féminicides comme une urgence nationale relevant à la fois des droits humains et de la sécurité publique. L'Ong exige l’application rigoureuse des lois existantes et la mise en place de mécanismes de protection efficaces pour les femmes en danger, demande le renforcement des campagnes nationales de sensibilisation sur les violences basées sur le genre, pour changer durablement les mentalités et les comportements. Enfin, elle invite à une réponse judiciaire exemplaire avec des poursuites systématiques, des jugements équitables et des sanctions dissuasives contre les auteurs de violences ».
Ainsi, « nous en appelons à l’ensemble de la société sénégalaise, citoyens, organisations de la société civile, leaders religieux et traditionnels, journalistes, parlementaires pour faire bloc contre ce fléau. Il est temps de sortir du silence, de briser les tabous et de dire haut et fort : Stop aux féminicides ! Le silence tue. L’inaction tue. L’heure est à l’action collective et urgente ».
Autres articles
-
GMS et Ismaïla Diallo : Quand le « déballage parlementaire » s’invite sur les réseaux sociaux
-
Scène conjugale à Mbour : il tabasse sa femme pour avoir déchiré la photo de sa maîtresse accrochée dans leur chambre
-
"Oméga Fishing" : L’usine qui tue ? Les populations de Joal Fadiouth hurlent leur ras-le-bol !
-
Assemblée nationale : Ces pratiques que Guy Marius Sagna reproche à ses collègues
-
Yoro Dia après la déclaration de Ousmane Sonko : « On ne gouverne pas par l’émotion ! »