Contrairement aux autres villes du Sénégal, Dakar reçoit très rarement des précipitations. Mais ce mercredi, entre 3h et 9h heures du matin, la capitale Sénégalaise a été inondée. Dans la banlieue et au centre ville, les habitants se sont pratiquement réveillés sous la pluie, même si certains ont été contraints de ne pas pouvoir aller au boulot, d’autres ont essayé de vaquer à leurs occupations sous la pluie.
Cependant, ces derniers rencontrent beaucoup de difficultés. Rencontré dans un coin de Dakar, Ndiaga Mbengue, est stupéfait. Il se console à notre micro en ses termes, les taximen exagèrent toujours dans ces situations.
Même s’il a l’habitude de prendre les « Tiak Tiak » Mbengue assure n’en voir presque aucun pendant la pluie. Ce qui a été bien expliqué par ceux qui exercent cette activité.
« Conduire sous la pluie à Dakar c’est vraiment difficile : non seulement la visibilité est réduite, les routes ne sont pas normales mais surtout qu’on ne voit aucun client » assure un jakartaman retrouvé sous un pont où il s'abrite.
Ce phénomène est aussi valable pour les livreurs, Bouyeu, fait partie sans doute des rares filles qui pratiquent cette activité. Pour elle, les conditions sont difficiles.
Les affaires ne fonctionnent pas. Les chauffeurs de moto rencontrés expliquent qu'ils ont plus un manque à gagner quand Dakar est arrosé par la pluie.
Cependant, ces derniers rencontrent beaucoup de difficultés. Rencontré dans un coin de Dakar, Ndiaga Mbengue, est stupéfait. Il se console à notre micro en ses termes, les taximen exagèrent toujours dans ces situations.
Même s’il a l’habitude de prendre les « Tiak Tiak » Mbengue assure n’en voir presque aucun pendant la pluie. Ce qui a été bien expliqué par ceux qui exercent cette activité.
« Conduire sous la pluie à Dakar c’est vraiment difficile : non seulement la visibilité est réduite, les routes ne sont pas normales mais surtout qu’on ne voit aucun client » assure un jakartaman retrouvé sous un pont où il s'abrite.
Ce phénomène est aussi valable pour les livreurs, Bouyeu, fait partie sans doute des rares filles qui pratiquent cette activité. Pour elle, les conditions sont difficiles.
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