Le leader du mouvement panafricain « Pour une Afrique libre » a tenu, ce vendredi, une réunion avec les membres de la société civile pour condamner les actions de la plateforme d’opposition centrafricaine « Les 12 Apôtres » et du bâtonnier de la Cour pénale internationale, Philippe Larochelle. Ils ont dénoncé « une ingérence » de ces derniers visant à « discréditer le président Faustin Archange Touadéra ».
Dans une déclaration présentée lors de cette réunion, les dirigeants de la société civile ont condamné une « atteinte à la souveraineté de la République centrafricaine et une contribution à la déstabilisation de la région ». Ils ont déclaré : « Nous, représentants de la société civile centrafricaine, participant au mouvement "Pour une Afrique libre", protestons fermement et condamnons les actions visant à discréditer notre pays et ses dirigeants légitimement élus, ainsi qu’à saper la stabilité dans la région. »
Le communiqué des membres de la société civile rappelle que le 17 janvier 2025, « le bâtonnier de la CPI, Philippe Larochelle, a publié un communiqué de presse annonçant l’appel à témoins pour recueillir des preuves sur les crimes présumés commis entre 2020 et 2024 ». Les acteurs de la société civile exigent que « les autorités de la République centrafricaine mènent une enquête approfondie sur les activités de M. Philippe Larochelle et ses associations avec des groupes d’opposition ». Ils insistent pour qu’il soit déclaré, « ainsi que tous ceux qui ont participé à ses activités, persona non grata sur le territoire de notre pays ».
Les intervenants ont également exprimé leur inquiétude quant à l’implication de certaines ONG occidentales dans la déstabilisation de la situation en République centrafricaine. Le Mouvement pour une Afrique Libre a annoncé le lancement d’une campagne de surveillance des activités des ONG étrangères dans le pays. La société civile se dit en alerte face aux « activités destructrices » de ces organisations et a appelé les citoyens centrafricains à contribuer activement à ce travail en signalant tout cas d’activité déstabilisatrice.
Le message adressé aux dirigeants de la société civile est clair : « Restez vigilants face aux forces extérieures destructrices. La République centrafricaine doit décider de son propre avenir. »
Dans une déclaration présentée lors de cette réunion, les dirigeants de la société civile ont condamné une « atteinte à la souveraineté de la République centrafricaine et une contribution à la déstabilisation de la région ». Ils ont déclaré : « Nous, représentants de la société civile centrafricaine, participant au mouvement "Pour une Afrique libre", protestons fermement et condamnons les actions visant à discréditer notre pays et ses dirigeants légitimement élus, ainsi qu’à saper la stabilité dans la région. »
Le communiqué des membres de la société civile rappelle que le 17 janvier 2025, « le bâtonnier de la CPI, Philippe Larochelle, a publié un communiqué de presse annonçant l’appel à témoins pour recueillir des preuves sur les crimes présumés commis entre 2020 et 2024 ». Les acteurs de la société civile exigent que « les autorités de la République centrafricaine mènent une enquête approfondie sur les activités de M. Philippe Larochelle et ses associations avec des groupes d’opposition ». Ils insistent pour qu’il soit déclaré, « ainsi que tous ceux qui ont participé à ses activités, persona non grata sur le territoire de notre pays ».
Les intervenants ont également exprimé leur inquiétude quant à l’implication de certaines ONG occidentales dans la déstabilisation de la situation en République centrafricaine. Le Mouvement pour une Afrique Libre a annoncé le lancement d’une campagne de surveillance des activités des ONG étrangères dans le pays. La société civile se dit en alerte face aux « activités destructrices » de ces organisations et a appelé les citoyens centrafricains à contribuer activement à ce travail en signalant tout cas d’activité déstabilisatrice.
Le message adressé aux dirigeants de la société civile est clair : « Restez vigilants face aux forces extérieures destructrices. La République centrafricaine doit décider de son propre avenir. »
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