Constituant une problématique majeure du ministère de la santé, la santé de la reproduction a fait l’objet d’une réflexion avec les acteurs du secteur, les religieux et l’éducation à Kolda. Ainsi, il s’agit de voir quelles stratégies mener pour réduire la mortalité maternelle, la morbidité néonatale et des adolescents. En ce sens, un document élaboré a été présenté aux acteurs pour des recommandations afin de toucher la cible (les jeunes) efficacement.
À en croire Madame Adama Sanokho, « la santé de la mère et de l’enfant et des adolescents est une problématique dans notre pays qui constitue la réduction de la mortalité, la morbidité maternelle néonatale et des adolescents. Ainsi, le volet de la santé des adolescents a été longtemps une cible laissée en rade mais demeure aujourd’hui une de nos priorités avec la planification familiale. Et en s’occupant de cette cible, on peut avoir un net recul des complications, des décès maternels ou autres. »
Selon les statistiques du ministère de la santé, il y'a une réduction de la mortalité infantile qui passe en 1992 de 555 décès à 236 décès en 2017 pour mille naissances.
À cela, elle ajoute : « il a été retenu que l’assemblée était d’accord par rapport aux argumentaires religieux cités dans les documents que nous avons établis. De ce fait, les religieux sont d’accord pour la sensibilisation des jeunes qui est la cible visée dans les écoles, les mosquées et les églises. » Dans la foulée, elle poursuit : « pendant ces jours, nous avons discuté sur la santé des adolescents et sur la planification familiale. En ce sens, nous avons recueilli aussi des recommandations que nous transmettrons au niveau supérieur… »
La santé de la reproduction des jeunes et la planification doivent constituer des moyens de lutter contre la mortalité maternelle et des adolescents. Et ceci doit passer par une sensibilisation pointue dans la société comme les lieux de culte (mosquées et églises).
À en croire Madame Adama Sanokho, « la santé de la mère et de l’enfant et des adolescents est une problématique dans notre pays qui constitue la réduction de la mortalité, la morbidité maternelle néonatale et des adolescents. Ainsi, le volet de la santé des adolescents a été longtemps une cible laissée en rade mais demeure aujourd’hui une de nos priorités avec la planification familiale. Et en s’occupant de cette cible, on peut avoir un net recul des complications, des décès maternels ou autres. »
Selon les statistiques du ministère de la santé, il y'a une réduction de la mortalité infantile qui passe en 1992 de 555 décès à 236 décès en 2017 pour mille naissances.
À cela, elle ajoute : « il a été retenu que l’assemblée était d’accord par rapport aux argumentaires religieux cités dans les documents que nous avons établis. De ce fait, les religieux sont d’accord pour la sensibilisation des jeunes qui est la cible visée dans les écoles, les mosquées et les églises. » Dans la foulée, elle poursuit : « pendant ces jours, nous avons discuté sur la santé des adolescents et sur la planification familiale. En ce sens, nous avons recueilli aussi des recommandations que nous transmettrons au niveau supérieur… »
La santé de la reproduction des jeunes et la planification doivent constituer des moyens de lutter contre la mortalité maternelle et des adolescents. Et ceci doit passer par une sensibilisation pointue dans la société comme les lieux de culte (mosquées et églises).
Autres articles
-
Niger: 29 soldats tués dans une nouvelle attaque de jihadistes présumés
-
Échauffourées entre pêcheurs et Migrants : Un corps non encore identifié retrouvé à la plage de Diockoul Ndiayene
-
Parrainage : Le groupe parlementaire BBY compte remettre à Amadou Ba au moins 50.000 signatures
-
Portrait : Qui est Aliou Mamadou Dia, candidat du PUR à l’élection présidentielle de 2024
-
Mesures préconisées pour décongestionner le PAD: Le gestionnaire DPW s’aligne, les compagnies disent niet!