La semaine du 25 au 29 septembre 2023 a été fournie en informations politiques au Sénégal. Elle est marquée par le lancement officiel du parrainage en vue de l’élection présidentielle de 2024 et la célébration du Gamou dans plusieurs foyers religieux, occasion saisie par le Chef de l’État pour inviter les guides religieux à accompagner le PM Amadou Ba, désigné candidat de la coalition présidentielle.
Au Sénégal, la période électorale se profile à grands pas. Tandis que les candidatures à l'élection présidentielle se multiplient, le candidat de l’Ex Pastef, l'opposant Ousmane Sonko, se voit retiré de la liste électorale par le sous-préfet des Almadies en raison de sa condamnation par contumace à deux ans de prison ferme par la chambre criminelle du tribunal de grande instance hors classe de Dakar, dans l'affaire l’opposant à la masseuse Adji Sarr.
Cette nouvelle fait son apparition au moment où Pastef, le parti politique du maire de Zinguinchor désormais dissout par le gouvernement depuis le 31 juillet, s’est vu refusé la fiche de parrainage.
En terme d'organisation pour l'election présidentielle à venir, la campagne de récolte de parrainage qui a débuté depuis le 29 septembre, ne durera que deux mois. Un temps nécessaire pour les candidats d'obtenir au moins 44 231 électeurs et au plus 58 975 parrains, soit 0, 6 et 0, 8% du fichier électoral pour ceux qui ont fait le choix du parrainage citoyen. Une partie des parrains doit provenir de 7 régions, à raison de 2.000 signatures par région’’, selon la loi électorale.
Au Sénégal, la période électorale se profile à grands pas. Tandis que les candidatures à l'élection présidentielle se multiplient, le candidat de l’Ex Pastef, l'opposant Ousmane Sonko, se voit retiré de la liste électorale par le sous-préfet des Almadies en raison de sa condamnation par contumace à deux ans de prison ferme par la chambre criminelle du tribunal de grande instance hors classe de Dakar, dans l'affaire l’opposant à la masseuse Adji Sarr.
Cette nouvelle fait son apparition au moment où Pastef, le parti politique du maire de Zinguinchor désormais dissout par le gouvernement depuis le 31 juillet, s’est vu refusé la fiche de parrainage.
En terme d'organisation pour l'election présidentielle à venir, la campagne de récolte de parrainage qui a débuté depuis le 29 septembre, ne durera que deux mois. Un temps nécessaire pour les candidats d'obtenir au moins 44 231 électeurs et au plus 58 975 parrains, soit 0, 6 et 0, 8% du fichier électoral pour ceux qui ont fait le choix du parrainage citoyen. Une partie des parrains doit provenir de 7 régions, à raison de 2.000 signatures par région’’, selon la loi électorale.
Ajoutons également que pour ceux qui ont choisi le parrainage parlementaire, il leur est demandé 8% du nombre total de députés, soit 13 parlementaires. Pour les candidats qui vont choisir de se faire parrainer par les élus locaux, ils devront avoir la signature de 120 présidents de Conseil départemental ou maires’’.
On signale surtout que ‘’le top départ de l’élection présidentielle du 25 février 2024 est donné ce vendredi lors de la séance d’explications organisée par la Direction générale des élections (Dge) à l’intention des candidats à la candidature ou de leurs mandataires’’.
S'agissant du Chef de l’État du Sénégal, Macky Sall, une tournée d'adieu s'impose. Le président de la République a ainsi multiplié les visites au sein des foyers religieux de Tivaouane, à Ndiassane, Thiénéba, jusqu'à Médina Baye. Une tournée favorable pour la présentation de son successeur, le Premier ministre et candidat de la coalition présidentielle Benno Bokk Yaakar, Amadou Ba.
La cérémonie de clôture de la célébration de la 123ème édition du gamou de Tivaouane s’est tenue mercredi dernier, à la cité religieuse. Une occasion saisie par le Khalife général des Tidianes via son représentant, pour inviter les populations à cultiver la paix.
La page INTERNATIONAL est marquée par le Mali ayant une nouvelle fois fait l'annonce d'un "léger report " de l'élection présidentielle prevue pour fevrier 2024, dont les dates retenus étaient du 4 au 18 février. Un ajournement dû à des raisons techniques, comme expliqué par le porte-parole du gouvernement, le colonel Abdoulaye Maïga. Il a été évoqué des facteurs tels l'adoption d'une nouvelle constitution et la révision des listes électorales.
Rappelons qu'auparavant les militaires s'étaient engagés à céder la place à des civils élus après une élection présidentielle et législatives prévues pour février 2022. Fin 2021, la junte s'est finalement déclarée dans l'incapacité de respecter ce calendrier, entraînant ainsi de lourdes sanctions économiques au Mali.
On signale surtout que ‘’le top départ de l’élection présidentielle du 25 février 2024 est donné ce vendredi lors de la séance d’explications organisée par la Direction générale des élections (Dge) à l’intention des candidats à la candidature ou de leurs mandataires’’.
S'agissant du Chef de l’État du Sénégal, Macky Sall, une tournée d'adieu s'impose. Le président de la République a ainsi multiplié les visites au sein des foyers religieux de Tivaouane, à Ndiassane, Thiénéba, jusqu'à Médina Baye. Une tournée favorable pour la présentation de son successeur, le Premier ministre et candidat de la coalition présidentielle Benno Bokk Yaakar, Amadou Ba.
La cérémonie de clôture de la célébration de la 123ème édition du gamou de Tivaouane s’est tenue mercredi dernier, à la cité religieuse. Une occasion saisie par le Khalife général des Tidianes via son représentant, pour inviter les populations à cultiver la paix.
La page INTERNATIONAL est marquée par le Mali ayant une nouvelle fois fait l'annonce d'un "léger report " de l'élection présidentielle prevue pour fevrier 2024, dont les dates retenus étaient du 4 au 18 février. Un ajournement dû à des raisons techniques, comme expliqué par le porte-parole du gouvernement, le colonel Abdoulaye Maïga. Il a été évoqué des facteurs tels l'adoption d'une nouvelle constitution et la révision des listes électorales.
Rappelons qu'auparavant les militaires s'étaient engagés à céder la place à des civils élus après une élection présidentielle et législatives prévues pour février 2022. Fin 2021, la junte s'est finalement déclarée dans l'incapacité de respecter ce calendrier, entraînant ainsi de lourdes sanctions économiques au Mali.
Plus tard, l'amende sera levée quand le colonel Assimi Goita consentira à partir en mars 2024.
Au Niger, après avoir refusé pendant plusieurs semaines de rappeler Sylvain Itté, son diplomate en chef au Niger, dont le régime réclamait le départ, le président Macron a décidé de mettre fin à une situation intenable. Le dirigeant français a annoncé officiellement le retour à Paris de l’ambassadeur à Niamey et le départ des 1.500 militaires français basés au Niger, d’ici la fin de l’année. Paris a pourtant posé toute son espérance sur une intervention militaire de la Cedeao (communauté des États d’Afrique de l’Ouest) pour rétablir le président Bazoum. Par ailleurs, le pouvoir militaire au Niger a interdit son espace aérien aux avions français, selon un communiqué du Conseil national pour la sauvegarde de la patrie (CNSP) dirigé par le général Abdourahamane Tchiani.
Et enfin, au Burkina Faso, suite à la censure sur tous les supports du magazine Jeune Afrique, en raison de sa publication d'un article faisant part d'une tension au sein des forces armées, l'on apprend plus tard l'échec d'une nouvelle tentative de coup d'État au soir du 26 septembre à Ouagadougou entrepris par quatre officiers, selon le ministre de la communication et porte-parole du gouvernement burkinabè.
Plus tôt dans la journée de mercredi, le président de la transition, le capitaine Ibrahim Traoré, a salué sur X (ancien Twitter) la mobilisation des Burkinabè durant la nuit de mardi pour dénoncer toute perspective de nouveau putsch dans le pays.
Et pour terminer, en SPORT,
le Maroc a été désigné pour accueillir la Coupe d'Afrique des nations (CAN) de 2025, après le retrait de ses concurrents, dont l'Algérie, a annoncé mercredi au Caire le président de la Confédération africaine de football.
Au Niger, après avoir refusé pendant plusieurs semaines de rappeler Sylvain Itté, son diplomate en chef au Niger, dont le régime réclamait le départ, le président Macron a décidé de mettre fin à une situation intenable. Le dirigeant français a annoncé officiellement le retour à Paris de l’ambassadeur à Niamey et le départ des 1.500 militaires français basés au Niger, d’ici la fin de l’année. Paris a pourtant posé toute son espérance sur une intervention militaire de la Cedeao (communauté des États d’Afrique de l’Ouest) pour rétablir le président Bazoum. Par ailleurs, le pouvoir militaire au Niger a interdit son espace aérien aux avions français, selon un communiqué du Conseil national pour la sauvegarde de la patrie (CNSP) dirigé par le général Abdourahamane Tchiani.
Et enfin, au Burkina Faso, suite à la censure sur tous les supports du magazine Jeune Afrique, en raison de sa publication d'un article faisant part d'une tension au sein des forces armées, l'on apprend plus tard l'échec d'une nouvelle tentative de coup d'État au soir du 26 septembre à Ouagadougou entrepris par quatre officiers, selon le ministre de la communication et porte-parole du gouvernement burkinabè.
Plus tôt dans la journée de mercredi, le président de la transition, le capitaine Ibrahim Traoré, a salué sur X (ancien Twitter) la mobilisation des Burkinabè durant la nuit de mardi pour dénoncer toute perspective de nouveau putsch dans le pays.
Et pour terminer, en SPORT,
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