Après le coup de théâtre dans les rangs de la coalition Yewwi Askan Wi suite aux investitures en perspective des élections législatives, les membres qui ont manifesté leur colère semblent toujours être dans cette posture d’insatisfaction.
Faisant une déclaration de presse en début de semaine, le leader de Pastef n’a pas mâché ses mots face à leur attitude qu’il a qualifiée d’inappropriée à l’heure où l’union est presque impérative au vu des joutes électorales à venir.
Déthié Fall a confirmé Ousmane Sonko le lendemain lors de son dépôt au conseil constitutionnel des recours de sa coalition en estimant que des initiatives sont envisagées pour « recoller les morceaux et laver le linge sale en famille. »
Mais visiblement, Yewwi Askan Wi est toujours dans son malaise après la réunion de sortie de crise convoquée au siège du Parti Républicain pour le Progrès, et qui a tourné au fiasco. La conférence des leaders a été convoquée au siège du parti de Déthié Fall, mais avec juste les présences de Khalifa Sall, Sonko, Aïda Mbodj, Habib Sy. Déthié Fall, Cheikh Tidiane Youm et Maïmouna Bousso qui a rejoint la coalition.
Qu’est ce qui a pu retenir Moustapha Guirassy et ses partenaires de même cause ? La sortie du leader de Pastef n’a-t-elle pas impacté de possibles retrouvailles politiques ? « Chaque leader doit au moins se peser au niveau de son département pour connaître son poids politique. Il est évident que tous les leaders ne peuvent pas se retrouver dans la liste nationale, le dosage parfait n’existe pas… », laissait entendre Ousmane Sonko parmi les mots qu’il avançait sur « le comportement incompréhensible de ces leaders ».
Une crise que minimisent les principales têtes d'affiche avec la fronde ouverte des chefs de parti frustrés qui ont décrié l'organisation, dénoncé l'oppression, les brimades et autres maux qu'ils y subissent. Mais ils avaient tenu à réitérer leur ancrage dans ladite coalition, appelant les présidents de la Conférence des leaders à la raison.
En effet, confie Abdou Karim Fall, l’objet de cette réunion était juste pour parler des investitures et aplanir les divergences. « Il faut que ces leaders sachent qu’on est en démocratie et qu’il faut tenir compte des préoccupations de la majorité en voulant organiser une rencontre surtout qu’il faudra, à cette occasion, essayer de recoller les morceaux » argue notre interlocuteur regrettant cette posture solitaire des leaders qui ont tenu à s’unir sans tenir compte de la disponibilité des autres ?
En tout état de cause, ces leaders frustrés attendent que les initiateurs de cette « possible rencontre », même dédramatisant cette absence, puissent lire minutieusement ces raisons qui ont retenu leurs camarades pour retrouver leur dynamique d’antan...
Faisant une déclaration de presse en début de semaine, le leader de Pastef n’a pas mâché ses mots face à leur attitude qu’il a qualifiée d’inappropriée à l’heure où l’union est presque impérative au vu des joutes électorales à venir.
Déthié Fall a confirmé Ousmane Sonko le lendemain lors de son dépôt au conseil constitutionnel des recours de sa coalition en estimant que des initiatives sont envisagées pour « recoller les morceaux et laver le linge sale en famille. »
Mais visiblement, Yewwi Askan Wi est toujours dans son malaise après la réunion de sortie de crise convoquée au siège du Parti Républicain pour le Progrès, et qui a tourné au fiasco. La conférence des leaders a été convoquée au siège du parti de Déthié Fall, mais avec juste les présences de Khalifa Sall, Sonko, Aïda Mbodj, Habib Sy. Déthié Fall, Cheikh Tidiane Youm et Maïmouna Bousso qui a rejoint la coalition.
Qu’est ce qui a pu retenir Moustapha Guirassy et ses partenaires de même cause ? La sortie du leader de Pastef n’a-t-elle pas impacté de possibles retrouvailles politiques ? « Chaque leader doit au moins se peser au niveau de son département pour connaître son poids politique. Il est évident que tous les leaders ne peuvent pas se retrouver dans la liste nationale, le dosage parfait n’existe pas… », laissait entendre Ousmane Sonko parmi les mots qu’il avançait sur « le comportement incompréhensible de ces leaders ».
Une crise que minimisent les principales têtes d'affiche avec la fronde ouverte des chefs de parti frustrés qui ont décrié l'organisation, dénoncé l'oppression, les brimades et autres maux qu'ils y subissent. Mais ils avaient tenu à réitérer leur ancrage dans ladite coalition, appelant les présidents de la Conférence des leaders à la raison.
En effet, confie Abdou Karim Fall, l’objet de cette réunion était juste pour parler des investitures et aplanir les divergences. « Il faut que ces leaders sachent qu’on est en démocratie et qu’il faut tenir compte des préoccupations de la majorité en voulant organiser une rencontre surtout qu’il faudra, à cette occasion, essayer de recoller les morceaux » argue notre interlocuteur regrettant cette posture solitaire des leaders qui ont tenu à s’unir sans tenir compte de la disponibilité des autres ?
En tout état de cause, ces leaders frustrés attendent que les initiateurs de cette « possible rencontre », même dédramatisant cette absence, puissent lire minutieusement ces raisons qui ont retenu leurs camarades pour retrouver leur dynamique d’antan...
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