Le Premier ministre, lors de son séjour au Burkina Faso, a accordé une interview à la RTB. Une émission dans laquelle Ousmane Sonko revient sur les questions politiques, notamment cette crise qui a conduit à la sortie de certains pays de la CEDEAO.
« Notre zone est condamnée à vivre ensemble. Nous sommes liés par l’histoire, la géographie. Mais il y a des situations qui se sont présentées. Des erreurs ont été commises, principalement des erreurs de la CEDEAO dans la gestion de certaines situations. Je l’ai dit lorsque j’étais opposant et je le redis aujourd’hui. Je ne cherche pas à plaire à une partie. Je reste fidèle à mes idées. Quand il y a eu la prise de pouvoir au Mali, j’ai été le premier à apporter mon soutien. C’est le cas au Mali et ici au Burkina. Quand il y a eu la prise de pouvoir au Niger, j’étais en détention. Mais j’ai réussi à faire passer un texte sur ma page Facebook, non seulement pour apporter mon soutien, mais aussi pour m’inscrire en faux par rapport à la menace de la CEDEAO de l’époque d’intervenir militairement. C’est inacceptable car il fallait aider à faire face à la menace terroriste », a développé le chef du gouvernement, qui estime que les erreurs ont été nombreuses.
Mais Ousmane Sonko considère que les problèmes familiaux se règlent en famille. Des gens ont eu des problèmes beaucoup plus profonds, mais ils sont aujourd’hui dans des espaces intégrés pour faire face au reste du monde. « Notre souhait, c’est que l’espace n’éclate pas », a indiqué le Premier ministre, estimant que ce qui va se passer entre les États va se poursuivre en termes de coopération.
Ousmane Sonko espère toutefois que la CEDEAO va en tirer toutes les conséquences pour qu’à la base les solutions appropriées soient apportées : « Il faudra aussi avoir l’ouverture qu’il faut pour traiter tous les États de manière égale. Je ne désespère pas que des retrouvailles se fassent. Les positions sont conciliables, même si l’histoire est faite de séparations parfois très douloureuses », conclut le Premier ministre.
« Notre zone est condamnée à vivre ensemble. Nous sommes liés par l’histoire, la géographie. Mais il y a des situations qui se sont présentées. Des erreurs ont été commises, principalement des erreurs de la CEDEAO dans la gestion de certaines situations. Je l’ai dit lorsque j’étais opposant et je le redis aujourd’hui. Je ne cherche pas à plaire à une partie. Je reste fidèle à mes idées. Quand il y a eu la prise de pouvoir au Mali, j’ai été le premier à apporter mon soutien. C’est le cas au Mali et ici au Burkina. Quand il y a eu la prise de pouvoir au Niger, j’étais en détention. Mais j’ai réussi à faire passer un texte sur ma page Facebook, non seulement pour apporter mon soutien, mais aussi pour m’inscrire en faux par rapport à la menace de la CEDEAO de l’époque d’intervenir militairement. C’est inacceptable car il fallait aider à faire face à la menace terroriste », a développé le chef du gouvernement, qui estime que les erreurs ont été nombreuses.
Mais Ousmane Sonko considère que les problèmes familiaux se règlent en famille. Des gens ont eu des problèmes beaucoup plus profonds, mais ils sont aujourd’hui dans des espaces intégrés pour faire face au reste du monde. « Notre souhait, c’est que l’espace n’éclate pas », a indiqué le Premier ministre, estimant que ce qui va se passer entre les États va se poursuivre en termes de coopération.
Ousmane Sonko espère toutefois que la CEDEAO va en tirer toutes les conséquences pour qu’à la base les solutions appropriées soient apportées : « Il faudra aussi avoir l’ouverture qu’il faut pour traiter tous les États de manière égale. Je ne désespère pas que des retrouvailles se fassent. Les positions sont conciliables, même si l’histoire est faite de séparations parfois très douloureuses », conclut le Premier ministre.
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