Dans un courrier adressé à la présidente du Conseil de sécurité, le chargé d'affaires par intérim de la mission permanente du Niger auprès de l'ONU a alerté cette institution des dérives de la CEDEAO et la France au sujet de la violation du droit international contre le Niger.
Selon le chargé d'affaires, " le Niger fait face à des sanctions des organisations régionales et sous-régionales dont certaines d'entre elles sont contraires au droit desdites organisations internationales, au droit international général et à la charte des Nations unies". À l'en croire, le Niger fait aussi l'objet d'actes graves qui sont de nature à porter atteinte à la paix et à la sécurité internationales par la République Française".
Ledit courrier fait aussi état de la violation du cadre communautaire des sanctions de la CEDEAO. Il s'agit, dit-il, " du gel de toutes les transactions de services, y compris les services publics ou encore la suspension de toutes les transactions commerciales et financières entre les États membres de la CEDEAO et l'État sanctionné, ainsi que la fermeture des frontières terrestres et aériennes entre les pays de la CEDEAO" etc.
L'autre point est relatif à la violation de l'interdiction du recours à la force sans l'aval préalable du Conseil de sécurité. Le chargé d'affaires de rappeler " l'article 53 de la charte qui présente les organismes régionaux comme des auxiliaires d'éxécution du Conseil de sécurité. Et dans ce cas de figure, c'est le conseil qui décide d'une action coercitive...". Dans son courrier, le chargé d'affaires parle d'un crime d'agression à l'encontre de la République du Niger. " il y a une approche volontaire d'asphyxie du peuple nigérien par la suspension de toutes les transactions commerciales et financières...".
Et enfin, le diplomate dénonce auprès du Conseil de sécurité, " les actes graves qui sont de nature à porter atteinte à la paix et à la sécurité internationales par la République Française" en relevant " le refus de prendre acte de l'acte souverain de l'État du Niger de la décision de rappel de son ambassadeur à Paris et du refus de reconnaître le chargé d'affaires Ad Intérim désigné, le comportement des autorités françaises consistant à ne pas reconnaître la décision des autorités nigériennes de dénoncer les accords de coopération et arrangement technique dans les domaines de la défense et de la sécurité entre les deux pays, la violation répétée et continue de l'espace aérien nigérien etc".
Selon le chargé d'affaires, " le Niger fait face à des sanctions des organisations régionales et sous-régionales dont certaines d'entre elles sont contraires au droit desdites organisations internationales, au droit international général et à la charte des Nations unies". À l'en croire, le Niger fait aussi l'objet d'actes graves qui sont de nature à porter atteinte à la paix et à la sécurité internationales par la République Française".
Ledit courrier fait aussi état de la violation du cadre communautaire des sanctions de la CEDEAO. Il s'agit, dit-il, " du gel de toutes les transactions de services, y compris les services publics ou encore la suspension de toutes les transactions commerciales et financières entre les États membres de la CEDEAO et l'État sanctionné, ainsi que la fermeture des frontières terrestres et aériennes entre les pays de la CEDEAO" etc.
L'autre point est relatif à la violation de l'interdiction du recours à la force sans l'aval préalable du Conseil de sécurité. Le chargé d'affaires de rappeler " l'article 53 de la charte qui présente les organismes régionaux comme des auxiliaires d'éxécution du Conseil de sécurité. Et dans ce cas de figure, c'est le conseil qui décide d'une action coercitive...". Dans son courrier, le chargé d'affaires parle d'un crime d'agression à l'encontre de la République du Niger. " il y a une approche volontaire d'asphyxie du peuple nigérien par la suspension de toutes les transactions commerciales et financières...".
Et enfin, le diplomate dénonce auprès du Conseil de sécurité, " les actes graves qui sont de nature à porter atteinte à la paix et à la sécurité internationales par la République Française" en relevant " le refus de prendre acte de l'acte souverain de l'État du Niger de la décision de rappel de son ambassadeur à Paris et du refus de reconnaître le chargé d'affaires Ad Intérim désigné, le comportement des autorités françaises consistant à ne pas reconnaître la décision des autorités nigériennes de dénoncer les accords de coopération et arrangement technique dans les domaines de la défense et de la sécurité entre les deux pays, la violation répétée et continue de l'espace aérien nigérien etc".
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