Devant les députés de l’Assemblée nationale, le ministre de la Justice s’est longuement exprimé sur les lenteurs dans le secteur judiciaire, évoquées par certains élus.
Interpellé par les députés, le garde des sceaux a déclaré : « La justice ne se précipite pas si nous voulons tirer tout au clair. » Sans détour, Ousmane Diagne a poursuivi : « La justice ne doit pas se faire dans la précipitation. L’objectif doit être de permettre sa bonne marche. »
Le ministre a précisé qu’il fallait d’abord installer le Pool financier judiciaire (PFJ) et la Haute Cour de justice (déjà mise en place en décembre dernier). Il a rappelé que le PFJ doit gérer la plupart des dossiers, lesquels nécessitent un examen minutieux.
L’occasion pour lui de rendre hommage aux magistrats, « qui accomplissent un travail remarquable ».
Dans son intervention, Ousmane Diagne a souligné qu’il ne pouvait se permettre, par précipitation, de violer les procédures. Selon lui, la justice est en train de changer, rompant avec les pratiques habituellement observées par les Sénégalais.
Enfin, le ministre a tenu à clarifier sa position devant l’Assemblée :
« Qu’on ne compte pas sur moi pour exercer une pression sur les magistrats. C’est de leur ressort. Je suis extrêmement satisfait de la manière dont la justice est rendue et dont les magistrats instruisent les dossiers », a-t-il conclu.
Interpellé par les députés, le garde des sceaux a déclaré : « La justice ne se précipite pas si nous voulons tirer tout au clair. » Sans détour, Ousmane Diagne a poursuivi : « La justice ne doit pas se faire dans la précipitation. L’objectif doit être de permettre sa bonne marche. »
Le ministre a précisé qu’il fallait d’abord installer le Pool financier judiciaire (PFJ) et la Haute Cour de justice (déjà mise en place en décembre dernier). Il a rappelé que le PFJ doit gérer la plupart des dossiers, lesquels nécessitent un examen minutieux.
L’occasion pour lui de rendre hommage aux magistrats, « qui accomplissent un travail remarquable ».
Dans son intervention, Ousmane Diagne a souligné qu’il ne pouvait se permettre, par précipitation, de violer les procédures. Selon lui, la justice est en train de changer, rompant avec les pratiques habituellement observées par les Sénégalais.
Enfin, le ministre a tenu à clarifier sa position devant l’Assemblée :
« Qu’on ne compte pas sur moi pour exercer une pression sur les magistrats. C’est de leur ressort. Je suis extrêmement satisfait de la manière dont la justice est rendue et dont les magistrats instruisent les dossiers », a-t-il conclu.
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