L'Union africaine (UA) a annoncé mercredi la levée des sanctions contre le Gabon, pays d'Afrique centrale suspendu des instances de l'organisation continentale après le coup d'Etat d'août 2023.
Le Conseil paix et sécurité de l'UA, qui a jugé la transition ayant renversé Ali Bongo "globalement réussie", a "donc décidé de lever immédiatement les sanctions imposées au Gabon", selon un communiqué publié sur X.
Le Gabon, à l'instar d'autres pays qui ont connu des coups d'Etat militaires ces dernières années comme le Mali, le Burkina Faso, ou bien encore la Guinée, avait été suspendu par l'Union africaine, et n'a pas pu participer notamment à l'élection en février du nouveau président de sa Commission.
Le Gabon a été dirigé d'une main de fer par la famille Bongo pendant plus de cinq décennies, Omar Bongo d'abord de 1967 à 2009, puis son fils Ali qui a pris sa succession jusqu'à son renversement en 2023 par Brice Clotaire Oligui Nguema.
Le général putchiste, à l'issue d'une période de transition, a été élu en avril président du petit pays d'Afrique faiblement peuplé mais riche en pétrole, avec 94,85% des suffrages.
Selon la nouvelle Constitution, le président élu prendra la tête du pays avec des pouvoirs élargis. Le poste de Premier ministre a été supprimé à la faveur de la création d'un poste de vice-président.
Le Conseil paix et sécurité de l'UA, qui a jugé la transition ayant renversé Ali Bongo "globalement réussie", a "donc décidé de lever immédiatement les sanctions imposées au Gabon", selon un communiqué publié sur X.
Le Gabon, à l'instar d'autres pays qui ont connu des coups d'Etat militaires ces dernières années comme le Mali, le Burkina Faso, ou bien encore la Guinée, avait été suspendu par l'Union africaine, et n'a pas pu participer notamment à l'élection en février du nouveau président de sa Commission.
Le Gabon a été dirigé d'une main de fer par la famille Bongo pendant plus de cinq décennies, Omar Bongo d'abord de 1967 à 2009, puis son fils Ali qui a pris sa succession jusqu'à son renversement en 2023 par Brice Clotaire Oligui Nguema.
Le général putchiste, à l'issue d'une période de transition, a été élu en avril président du petit pays d'Afrique faiblement peuplé mais riche en pétrole, avec 94,85% des suffrages.
Selon la nouvelle Constitution, le président élu prendra la tête du pays avec des pouvoirs élargis. Le poste de Premier ministre a été supprimé à la faveur de la création d'un poste de vice-président.
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