La coalition des syndicats d'enseignants de Kaolack, constituée du Sadef et du Sels/Authentique, a observé ce matin un débrayage suivi d'un rassemblement devant l'Inspection de l'Éducation et de la Formation (IEF) de Kaolack. Cette mobilisation vise à exiger le paiement des indemnités liées à la surveillance du Baccalauréat 2024.
"De juillet 2024 à aujourd'hui, février 2025, les enseignants qui ont surveillé l'administration des épreuves du Bac peinent à recevoir leurs indemnités, tandis que les autres acteurs, tels que les professeurs, les présidents de jury, les secrétaires de jury et les chefs de centre, ont perçu leurs dûs depuis longtemps. Pourquoi cela n'est-il pas le cas pour les enseignants du primaire ? Nous disons non à cette injustice", a déclaré Babacar Kébé, secrétaire général du SELS/Authentique de Kaolack.
Selon lui, le mot d'ordre de débrayage a été suivi à 75 % par les enseignants. "Aujourd'hui, nous avons observé un débrayage à partir de 10 heures, suivi d'un rassemblement. Nous avons également évalué la situation à travers nos points focaux et constaté que le système éducatif a été paralysé à hauteur de 75 % dans le primaire", a ajouté Babacar Kébé.
Il a également insisté : "Notre plan d'action d'aujourd'hui n'est qu'une alerte. Si les autorités ne prennent pas de mesures correctives, nous passerons à la vitesse supérieure la semaine prochaine. Nous demandons aux autorités de faire preuve de diligence afin que ces indemnités soient versées dans les plus brefs délais." La coalition a par ailleurs appelé les autres organisations syndicales à se joindre à la lutte pour que la cause enseignante soit entendue et respectée.
"De juillet 2024 à aujourd'hui, février 2025, les enseignants qui ont surveillé l'administration des épreuves du Bac peinent à recevoir leurs indemnités, tandis que les autres acteurs, tels que les professeurs, les présidents de jury, les secrétaires de jury et les chefs de centre, ont perçu leurs dûs depuis longtemps. Pourquoi cela n'est-il pas le cas pour les enseignants du primaire ? Nous disons non à cette injustice", a déclaré Babacar Kébé, secrétaire général du SELS/Authentique de Kaolack.
Selon lui, le mot d'ordre de débrayage a été suivi à 75 % par les enseignants. "Aujourd'hui, nous avons observé un débrayage à partir de 10 heures, suivi d'un rassemblement. Nous avons également évalué la situation à travers nos points focaux et constaté que le système éducatif a été paralysé à hauteur de 75 % dans le primaire", a ajouté Babacar Kébé.
Il a également insisté : "Notre plan d'action d'aujourd'hui n'est qu'une alerte. Si les autorités ne prennent pas de mesures correctives, nous passerons à la vitesse supérieure la semaine prochaine. Nous demandons aux autorités de faire preuve de diligence afin que ces indemnités soient versées dans les plus brefs délais." La coalition a par ailleurs appelé les autres organisations syndicales à se joindre à la lutte pour que la cause enseignante soit entendue et respectée.
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