Les héritiers de feu Abdou Khadre Kébé ont décidé de se mobiliser pour exprimer leur « profonde indignation face à la destruction injustifiée d’arbres et de plusieurs bâtiments situés sur un terrain dont ils sont légalement propriétaires, conformément au titre foncier TF N°4188 ». Ils ont fait part de leur mécontentement dans une lettre adressée à l’administration.
Les héritiers de feu Abdou Khadre Kébé (frère de feu Ndiouga Kébé) ont notamment déclaré avoir appris que ces destructions étaient liées à l’organisation de la Journée Nationale de l’Élevage, prévue le 22 février à Kaolack. Selon eux, des travaux ont été réalisés sur le site sans leur consentement, « entraînant l’abattage de plusieurs arbres que notre défunt père avait plantés il y a plus de cinquante ans », ont-ils déploré.
« Il s’agit de la deuxième fois que notre terrain fait l’objet d’une appropriation illégale. À chaque fois, un constat a été dressé par un huissier de justice », ont-ils souligné. Forts de ce constat, les héritiers de feu Abdou Khadre Kébé exigent des « réparations immédiates ».
Les héritiers de feu Abdou Khadre Kébé (frère de feu Ndiouga Kébé) ont notamment déclaré avoir appris que ces destructions étaient liées à l’organisation de la Journée Nationale de l’Élevage, prévue le 22 février à Kaolack. Selon eux, des travaux ont été réalisés sur le site sans leur consentement, « entraînant l’abattage de plusieurs arbres que notre défunt père avait plantés il y a plus de cinquante ans », ont-ils déploré.
« Il s’agit de la deuxième fois que notre terrain fait l’objet d’une appropriation illégale. À chaque fois, un constat a été dressé par un huissier de justice », ont-ils souligné. Forts de ce constat, les héritiers de feu Abdou Khadre Kébé exigent des « réparations immédiates ».
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