Le thème de ce panel consiste en « La présidence sénégalaise de l’Union Africaine : défis et perspectives pour les femmes sénégalaises dans un contexte de Covid-19 et de changement climatique ».
À l’entame de son allocution, le ministre de la Femme, de la Famille et du Genre, Mme Ndèye Saly Diop Dieng, a rendu un vibrant hommage en cette journée de 7 mars aux femmes de ‘’Nder’’ qui avaient préféré mourir libres plutôt que de vivre dans la soumission. Cette réunion selon elle, consiste à regrouper le plus grand nombre de femmes et d'organisations féministes et de se mettre en état de jouer leur pleine partition dans la mise en œuvre des programmes de résilience face aux crises.
Ainsi, le ministre de la Femme indique que le défi à relever consiste à renforcer le leadership des femmes et des filles afin qu’elles puissent développer davantage d’initiatives responsables et continuent leurs voies dans la prise en charge des décisions.
Pour sa part, la Directrice régionale d'ONU Femmes, Oulimata Sarr, estime que les femmes ne jouent pas leur rôle dans les négociations et dans les instances de décision du changement climatique.
Lorsque les femmes sont incluses dans les instances de décision, elles arrivent à avoir un impact.
De son côté, Penda Seck Diouf, Présidente national du Comité de lutte contre les violences faites aux femmes et aux enfants, a fait savoir que les femmes et les hommes sont tous responsables de la protection de l’environnement. « 54 % des femmes sont touchées par les effets des changements climatiques. Parfois, il y a des femmes qui accouchent dans l’eau en période hivernale », a-t-elle précisé. Selon elle, il faut que les acteurs de développement orientent davantage les financements vers le changement climatique.
À l’entame de son allocution, le ministre de la Femme, de la Famille et du Genre, Mme Ndèye Saly Diop Dieng, a rendu un vibrant hommage en cette journée de 7 mars aux femmes de ‘’Nder’’ qui avaient préféré mourir libres plutôt que de vivre dans la soumission. Cette réunion selon elle, consiste à regrouper le plus grand nombre de femmes et d'organisations féministes et de se mettre en état de jouer leur pleine partition dans la mise en œuvre des programmes de résilience face aux crises.
Ainsi, le ministre de la Femme indique que le défi à relever consiste à renforcer le leadership des femmes et des filles afin qu’elles puissent développer davantage d’initiatives responsables et continuent leurs voies dans la prise en charge des décisions.
Pour sa part, la Directrice régionale d'ONU Femmes, Oulimata Sarr, estime que les femmes ne jouent pas leur rôle dans les négociations et dans les instances de décision du changement climatique.
Lorsque les femmes sont incluses dans les instances de décision, elles arrivent à avoir un impact.
De son côté, Penda Seck Diouf, Présidente national du Comité de lutte contre les violences faites aux femmes et aux enfants, a fait savoir que les femmes et les hommes sont tous responsables de la protection de l’environnement. « 54 % des femmes sont touchées par les effets des changements climatiques. Parfois, il y a des femmes qui accouchent dans l’eau en période hivernale », a-t-elle précisé. Selon elle, il faut que les acteurs de développement orientent davantage les financements vers le changement climatique.
Autres articles
-
Veille de Noël en Casamance : le message du président Diomaye Faye aux Forces de défense et de sécurité
-
La LONASE à la Fidak : "Un acteur clé de l'économie Sénégalaise..."(DG Toussaint Manga)
-
Diamaguène : deux voleurs à moto interpellés après un vol à l’arraché en plein jour
-
Lutte contre la délinquance à Dakar : deux réseaux criminels démantelés à Keur Massar et en centre-ville
-
Hôpital régional de Kaolack - Contrats précaires, bâtiments vétustes…, le directeur interpelle les autorités



