Le ministre de l’emploi, de la formation professionnelle, de l’apprentissage et de l’insertion, Dame Diop, a livré à l’occasion du face-à-face entre le gouvernement et la presse, ce 10 juin, les efforts consentis par son département pour une amélioration de la qualification des jeunes.
« Pendant longtemps, le sous-secteur de la formation professionnelle a été le parent pauvre dans l’allocation des ressources pour le grand secteur de l’éducation. Le budget de la formation professionnelle a été multiplié au moins par 3, on est passé de 27 milliards à 86 milliards aujourd'hui, 27 milliards de plus en 2012 à 86 milliards en 2020. C'est une volonté politique très forte. Sur les centres de formation professionnelle, nous sommes passés de 87 centres de formation professionnelle en 2012 à 131 centres de formation professionnelle, à l’heure où nous parlons, compte non tenu des 46 nouveaux centres de formation qui vont être démarré sur l’ensemble des 46 départements », a renseigné le ministre. Selon Dame Diop, l’évolution dans l'offre de formation a permis de donner à ces nouveaux centres une nouvelle impulsion qui a permis de diversifier l'offre de formation surtout sur l'industrie et les nouvelles technologies de l'information et dans le secteur de l'agriculture.
« La diversification de l’offre a été un point fondamental pour régler la question de l’employabilité des jeunes. Sur 100 sénégalais qui cherchent un emploi en 2012, seuls 6 avaient une qualification professionnelle (…) aujourd’hui, plus de 138.000 jeunes sont dans les dispositifs de formation et si nous avons pu faire ce bond, on le doit particulièrement à cette manne financière destinée à accompagner les jeunes au nom de l’équité territoriale et sociale qui a permis à des jeunes sénégalais de Saint-Louis à Sédhiou au fin fond du Sénégal de faire de la formation professionnelle pour laquelle l’État paye 90% du coût de la formation », a confié le ministre de l’emploi.
Dame Diop a rappelé la nécessité d’orienter les efforts de l’État vers un maillage national afin de permettre aux nombreux jeunes de subir une formation leur permettant d’intégrer le milieu professionnel...
« Pendant longtemps, le sous-secteur de la formation professionnelle a été le parent pauvre dans l’allocation des ressources pour le grand secteur de l’éducation. Le budget de la formation professionnelle a été multiplié au moins par 3, on est passé de 27 milliards à 86 milliards aujourd'hui, 27 milliards de plus en 2012 à 86 milliards en 2020. C'est une volonté politique très forte. Sur les centres de formation professionnelle, nous sommes passés de 87 centres de formation professionnelle en 2012 à 131 centres de formation professionnelle, à l’heure où nous parlons, compte non tenu des 46 nouveaux centres de formation qui vont être démarré sur l’ensemble des 46 départements », a renseigné le ministre. Selon Dame Diop, l’évolution dans l'offre de formation a permis de donner à ces nouveaux centres une nouvelle impulsion qui a permis de diversifier l'offre de formation surtout sur l'industrie et les nouvelles technologies de l'information et dans le secteur de l'agriculture.
« La diversification de l’offre a été un point fondamental pour régler la question de l’employabilité des jeunes. Sur 100 sénégalais qui cherchent un emploi en 2012, seuls 6 avaient une qualification professionnelle (…) aujourd’hui, plus de 138.000 jeunes sont dans les dispositifs de formation et si nous avons pu faire ce bond, on le doit particulièrement à cette manne financière destinée à accompagner les jeunes au nom de l’équité territoriale et sociale qui a permis à des jeunes sénégalais de Saint-Louis à Sédhiou au fin fond du Sénégal de faire de la formation professionnelle pour laquelle l’État paye 90% du coût de la formation », a confié le ministre de l’emploi.
Dame Diop a rappelé la nécessité d’orienter les efforts de l’État vers un maillage national afin de permettre aux nombreux jeunes de subir une formation leur permettant d’intégrer le milieu professionnel...
Autres articles
-
Saly / Conclave avec les artisans : Papa Amadou Ndiaye annonce un recensement numérique avec géo-localisation
-
3e mandat de Macky Sall : Une question « hypothétique » selon le quai d’Orsay
-
Commune de Kaolack : Un jeune menuisier ébéniste tué à coups de couteau par une jeune fille à Keur Maloum.
-
Palais de Justice : Wally Diouf Bodian de Pastef libéré sous bracelet électronique.
-
Protection des données personnelles : le RESTIC assigne TikTok devant la CDP et l’ARTP et annonce une plainte devant les tribunaux du Sénégal et de la CEDEAO.