Le recul de la Covid-19 avait commencé à donner de l’espoir aux autorités du monde qui pensaient engager une relance économique. Cet espoir a commencé à s’effriter du fait de cette crise ukrainienne qui menace la stabilité économique mondiale. C’est pour amoindrir les dégâts et réduire l’impact de cette crise en Afrique que la Banque mondiale a interpellé les autorités étatiques du continent africain.
Profitant d’une conférence de ladite institution mondiale, ce mercredi 13 avril, Albert Zeufack, économiste en chef de la Banque mondiale pour l’Afrique, trouve qu’avec des marges budgétaires limitées, les décideurs ont le devoir de « se tourner vers des options innovantes comme la baisse ou la suppression temporaire des droits à l’importation sur les denrées alimentaires de base, pour venir en aide à leurs concitoyens ».
Un appel qu’il a lancé, lors de la publication de la dernière édition du rapport Africa’s Pulse de la Banque mondiale, au moment où, estime-t-il, « les pays africains se trouvent confrontés à une incertitude persistante, à la perturbation de l’approvisionnement et la flambée des prix des engrais et des produits alimentaires, les politiques commerciales peuvent changer la donne en garantissant la libre circulation des denrées alimentaires à travers la région ».
Profitant d’une conférence de ladite institution mondiale, ce mercredi 13 avril, Albert Zeufack, économiste en chef de la Banque mondiale pour l’Afrique, trouve qu’avec des marges budgétaires limitées, les décideurs ont le devoir de « se tourner vers des options innovantes comme la baisse ou la suppression temporaire des droits à l’importation sur les denrées alimentaires de base, pour venir en aide à leurs concitoyens ».
Un appel qu’il a lancé, lors de la publication de la dernière édition du rapport Africa’s Pulse de la Banque mondiale, au moment où, estime-t-il, « les pays africains se trouvent confrontés à une incertitude persistante, à la perturbation de l’approvisionnement et la flambée des prix des engrais et des produits alimentaires, les politiques commerciales peuvent changer la donne en garantissant la libre circulation des denrées alimentaires à travers la région ».
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