Le Chef de l’État Français, Emmanuel Macron face aux attentats qui se multiplient en France, a préféré calmer le jeu. Dans un entretien enregistré en français vendredi auprès de la chaîne qatarienne Al Jazeera, il a pointé du doigt les réseaux sociaux et ainsi dénoncé des « manipulations » de ses propos, y compris par certains dirigeants. « Les réactions du monde musulman ont été dues à beaucoup de mensonges, et au fait que les gens ont cru comprendre que moi, j'étais favorable à ces caricatures », a affirmé le chef de l'État français.
Il avait pourtant défendu le droit à la caricature lors de l'hommage national à Samuel Paty, tué après avoir montré des caricatures du Prophète Mahomed (Psl), provoquant la colère d'une grande partie du monde musulman. Lors de cet entretien, il a rappelé que les caricatures ne sont pas le fait de l'État, mais de médias indépendants. « Je suis favorable à ce qu'on puisse écrire, penser, dessiner librement dans mon pays parce que je pense que c'est important, que c'est un droit, ce sont nos libertés », a encore fait savoir Macron...
Autres articles
-
La « machine de l'État » contre Papa Malick Ndour : l'inquiétant dérapage, selon Hamidou Anne
-
THIÉYÈNE DJOLOFF 2025- Le député Mbaye Dione considère qu’un État responsable doit éviter d’essuyer des revers juridiques à tout bout de champs .
-
TOUBA - Manque d’infrastructures dans la cité / L’imam Serigne Chouhaïbou Mbacké Rue 10 pointe un doigt accusateur sur l’État et dénonce .
-
Presse: Après le désaveu de la Cour suprême , l’APPEL met à nu d’autres irrégularités du MTCN et annonce une action en justice
-
Extradition de Madiambal Diagne : « Personne ne peut forcer la Cour d’appel de Versailles à aller plus vite qu’elle ne le souhaite » (Christine Fages)




