Le ministre de la Santé et de l’Action sociale Marie Khemesse Ngom Ndiaye défend le projet de loi N° /2022 portant abrogation de la loi N°76-03 du 25 mars 1976 relative au traitement de la lèpre et au reclassement social des lépreux guéris ou mutilés.
Selon le rapport transmis à la presse, cette loi avait créé des villages de reclassement social où devaient être installés et hébergés à titre gratuit les lépreux guéris ou mutilés ainsi que leur famille.
« La polychimiothérapie (PCT), la contagion est maîtrisée dès la première prise. Le rythme d’évolution de la population concernée ayant fortement baissé, il est apparu inopportun de maintenir ce genre de village » a déclaré Marie Khemesse Ngom Ndiaye, MSAS.
Le rapport fait savoir qu’il y a lieu d’humaniser l'appellation « lépreux guéris et mutilés » qui figure dans la loi N°76-03 du 25 mars 1976 et de faire valoir le principe du respect de la dignité humaine tel qu’énoncé.
L'abrogation de cette loi va permettre de rompre avec une injustice longtemps subie par les natifs de Fatiga, de Sowane, de Peykouk, de Tébi, de Djibélor, de Koutal, de Mballing, de Diambo, entre autres.
Le ministre indique qu’avec les progrès de la médecine, les médicaments destinés à soigner la lèpre sont disponibles et leurs effets secondaires réduits.
Selon le rapport transmis à la presse, cette loi avait créé des villages de reclassement social où devaient être installés et hébergés à titre gratuit les lépreux guéris ou mutilés ainsi que leur famille.
« La polychimiothérapie (PCT), la contagion est maîtrisée dès la première prise. Le rythme d’évolution de la population concernée ayant fortement baissé, il est apparu inopportun de maintenir ce genre de village » a déclaré Marie Khemesse Ngom Ndiaye, MSAS.
Le rapport fait savoir qu’il y a lieu d’humaniser l'appellation « lépreux guéris et mutilés » qui figure dans la loi N°76-03 du 25 mars 1976 et de faire valoir le principe du respect de la dignité humaine tel qu’énoncé.
L'abrogation de cette loi va permettre de rompre avec une injustice longtemps subie par les natifs de Fatiga, de Sowane, de Peykouk, de Tébi, de Djibélor, de Koutal, de Mballing, de Diambo, entre autres.
Le ministre indique qu’avec les progrès de la médecine, les médicaments destinés à soigner la lèpre sont disponibles et leurs effets secondaires réduits.
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