La famille Mbaye héritière du fondateur de l’agence de sécurité dénommée Agence de sécurité du Sine Saloum (ASSAL), au nombre de 37 hommes et femmes, ont décidé de reprendre « leurs biens ».
Abdoulaye Mbaye, fils aîné de Mambaye Mbaye, qui a parlé au nom de la famille, a fustigé l’attitude des autorités judiciaires qui ont préféré faire la sourde oreille dans cette affaire. « Nous sommes les héritiers légitimes de la société de gardiennage : agence de sécurité du Sine Saloum basée à Kaolack. Depuis 24 ans, cette société est en redressement judiciaire », dénonce M. Mbaye.
« C’est une vraie entreprise de machination qui est derrière cette affaire. Nous avons frappé à toutes les portes, mais personne ne nous a répondu. L’ancien ministre de la Justice Me Sidiki Kaba nous avait répondu par le biais de son directeur de cabinet, nous parlant de séparation de pouvoir. C’est une réponse sans pied qui ne tient pas la route. Son successeur, Me Malick Sall, n’a pas daigné nous répondre. Nous nous sommes rendus à l’Igaj aussi sans réponse. Aucun héritier ne travaille dans cette société, nous sommes 37 et aucune vue ni contrôle sur la gestion de la société », regrette Abdoulaye Mbaye.
Il annonce que « nous nous battrons quitte à y laisser nos vies parce que c’est notre bien. C’est une société qui embauche plus de 300 agents avec une masse salariale entre 20 et 25 millions par mois. Nous irons rencontrer les familles religieuses de Kaolack ».
Abdoulaye Mbaye, fils aîné de Mambaye Mbaye, qui a parlé au nom de la famille, a fustigé l’attitude des autorités judiciaires qui ont préféré faire la sourde oreille dans cette affaire. « Nous sommes les héritiers légitimes de la société de gardiennage : agence de sécurité du Sine Saloum basée à Kaolack. Depuis 24 ans, cette société est en redressement judiciaire », dénonce M. Mbaye.
« C’est une vraie entreprise de machination qui est derrière cette affaire. Nous avons frappé à toutes les portes, mais personne ne nous a répondu. L’ancien ministre de la Justice Me Sidiki Kaba nous avait répondu par le biais de son directeur de cabinet, nous parlant de séparation de pouvoir. C’est une réponse sans pied qui ne tient pas la route. Son successeur, Me Malick Sall, n’a pas daigné nous répondre. Nous nous sommes rendus à l’Igaj aussi sans réponse. Aucun héritier ne travaille dans cette société, nous sommes 37 et aucune vue ni contrôle sur la gestion de la société », regrette Abdoulaye Mbaye.
Il annonce que « nous nous battrons quitte à y laisser nos vies parce que c’est notre bien. C’est une société qui embauche plus de 300 agents avec une masse salariale entre 20 et 25 millions par mois. Nous irons rencontrer les familles religieuses de Kaolack ».
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