Le Syndicat national des professionnels de l’information et de la communication du Sénégal (Synpics) a salué la décision du tribunal de Kaolack qui s’est prononcé hier sur l'affaire concernant le chef de bureau de Dakaractu à Kaolack en l’occurrence en l'occurrence le journaliste Moussa Fall et la garde rapprochée du maire Serigne Mboup.
Une décision condamnant les trois individus membres de la garde rapprochée du maire de Kaolack Serigne Mboup qui avaient, exercé des actes de violences à l’encontre du journaliste, forcé de quitter la salle qui abritait une session du conseil municipal de la ville de Kaolack le 24 janvier 2023.
En effet, le Synpics considère qu’il s’agit là d’une jurisprudence en faveur de la liberté de presse et du libre accès aux sources d’information. En plus, par ce verdict, le tribunal donne un signal aux commeteurs d’actes malveillants, le plus souvent sur commande ou par excès de zèle, à l’endroit des Professionnels de l’Information.
En quoi la présence d’un journaliste à une séance d’un conseil municipal peut elle déranger ? Cette séance étant en plus publique et ne faisant l’objet d’aucune restriction décidée par le représentant de l’administration territoriale, au nom de quoi peut on jeter un journaliste dehors ? questionne Bamba Kassé, le secrétaire général du syndicat dans ce communiqué magnifiant
la décision du tribunal qui a, d’ailleurs, déclaré hier que les prévenus à savoir Amadou Lô, Ousmane Diop et El Hadj Abdoulaye Badara Thioye sont coupables de coups et blessures volontaires ayant occasionné une ITT de 7 jours au plaignant.
Ils sont tous les trois condamnés à 1 mois avec sursis et à allouer au sieur Fall la somme de 500.000 Fcfa au titre de dommages et intérêts, assortis de l'exécution provisoire et condamne les prévenus aux dépens. Le tribunal a même fixé la contrainte par corps au maximum.
Une décision condamnant les trois individus membres de la garde rapprochée du maire de Kaolack Serigne Mboup qui avaient, exercé des actes de violences à l’encontre du journaliste, forcé de quitter la salle qui abritait une session du conseil municipal de la ville de Kaolack le 24 janvier 2023.
En effet, le Synpics considère qu’il s’agit là d’une jurisprudence en faveur de la liberté de presse et du libre accès aux sources d’information. En plus, par ce verdict, le tribunal donne un signal aux commeteurs d’actes malveillants, le plus souvent sur commande ou par excès de zèle, à l’endroit des Professionnels de l’Information.
En quoi la présence d’un journaliste à une séance d’un conseil municipal peut elle déranger ? Cette séance étant en plus publique et ne faisant l’objet d’aucune restriction décidée par le représentant de l’administration territoriale, au nom de quoi peut on jeter un journaliste dehors ? questionne Bamba Kassé, le secrétaire général du syndicat dans ce communiqué magnifiant
la décision du tribunal qui a, d’ailleurs, déclaré hier que les prévenus à savoir Amadou Lô, Ousmane Diop et El Hadj Abdoulaye Badara Thioye sont coupables de coups et blessures volontaires ayant occasionné une ITT de 7 jours au plaignant.
Ils sont tous les trois condamnés à 1 mois avec sursis et à allouer au sieur Fall la somme de 500.000 Fcfa au titre de dommages et intérêts, assortis de l'exécution provisoire et condamne les prévenus aux dépens. Le tribunal a même fixé la contrainte par corps au maximum.
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