Ayant appris avec consternation et indignation que la camerawoman Adja Ndiaye de Dakaractu a été sauvagement bastonnée par la Police ce lundi 28 septembre à Dakar dans les conditions que tout le monde connaît, le Synpics qui a informé aussi bien le Directeur de la Sécurité Publique que le ministre de l'intérieur, condamne avec toute la rigueur qui sied ces actes dignes d'une dictature.
Se préoccupant d'abord de l'état de la victime de ces actes barbares, le Synpics suit avec une attention stressante l'évolution de son état de santé et prend pour responsable l'État du Sénégal de tout ce qui pourrait arriver à Adja Ndiaye.
Adja Ndiaye, actuellement hospitalisée dans une clinique de la place est la énième femme de médias, victime cette année de l'exagération de forces de police.
Le Syndicat lui marque ainsi sa solidarité totale et entière et donnera avec elle toute suite judiciaire appropriée à cette affaire.
Le Synpics tient à rappeler aux forces de l'ordre que le pouvoir de coercition, au besoin, qui leur est accordé au point qu'elles peuvent user d'une violence légitime pour maintenir l'ordre, découle de la Loi.
"La récurrence des actes d'agression contre des journalistes (Touba durant la Covid, Place de L'indépendance, marche de Guy Marius Sagna sur le Boulevard de la République) ne nous fait pas mériter notre place dans le top 50 des pays les mieux classés en matière de liberté de presse", rappellera le syndicat des professionnels de l'information et de la communication.
Il ajoutera que la police doit, comme récemment au Quai de pêche de Mbour, déployer toutes ses ressources pour protéger les citoyens, dont les journalistes, et non les violenter gratuitement.
Se préoccupant d'abord de l'état de la victime de ces actes barbares, le Synpics suit avec une attention stressante l'évolution de son état de santé et prend pour responsable l'État du Sénégal de tout ce qui pourrait arriver à Adja Ndiaye.
Adja Ndiaye, actuellement hospitalisée dans une clinique de la place est la énième femme de médias, victime cette année de l'exagération de forces de police.
Le Syndicat lui marque ainsi sa solidarité totale et entière et donnera avec elle toute suite judiciaire appropriée à cette affaire.
Le Synpics tient à rappeler aux forces de l'ordre que le pouvoir de coercition, au besoin, qui leur est accordé au point qu'elles peuvent user d'une violence légitime pour maintenir l'ordre, découle de la Loi.
"La récurrence des actes d'agression contre des journalistes (Touba durant la Covid, Place de L'indépendance, marche de Guy Marius Sagna sur le Boulevard de la République) ne nous fait pas mériter notre place dans le top 50 des pays les mieux classés en matière de liberté de presse", rappellera le syndicat des professionnels de l'information et de la communication.
Il ajoutera que la police doit, comme récemment au Quai de pêche de Mbour, déployer toutes ses ressources pour protéger les citoyens, dont les journalistes, et non les violenter gratuitement.
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