Le pire a été, de nouveau, frôlé à l’aéroport international de Dakar, ce matin. Un avion léger appartenant à « Aéroclub » a atterri en catastrophe sur la piste 0321. Son train d’atterrissage s’étant malencontreusement cassé, c'est donc miraculeusement que l’irréparable ne s’est pas produit, une nouvelle fois, évitant à Dakar d’être à nouveau au devant de la scène, quelques mois après le crash à 111 kilomètres au large de la capitale, d’un avion Sénégalair qui transportait 7 personnes.
Pour mémoire, le bilan fut dramatique : 3 Sénégalais, 3 Burkinabés et une patiente française disparaissaient ainsi. L’aéronef avait disparu des radars, disait-on. La vétusté avancée de l’appareil a aussi été fortement agitée. Défaut de contrôle ? Naturellement, oui !
Aujourd’hui, l’on se demande jusqu’à quel degré la responsabilité de l’ANACIM est engagée, d’autant plus qu’il ya quelques semaines un autre avion appartenant à « Arc-en-ciel » connaissait, lui aussi, des déboires.
L’Agence Nationale de l’Aviation Civile et de la Météorologie est en effet, une fois de plus, interpellée. L’entreprise est chargée notamment de la délivration de licences à ces appareils, du contrôle de la sûreté et de la supervision de la sécurité de l’aviation civile en plus de participer aux enquêtes relatives aux incidents et de mener les enquêtes d’aviation. Dans un document fixant ses attributions, il est mentionné que « L’Agence certifie et inspecte d’une manière permanente les aéronefs évoluant à l’intérieur du territoire national, équipages et compagnies aériennes. Dans l’exécution de ses tâches de certification et d’inspection, elle peut valider les certificats et licences délivrés par l’Agence de l’Aviation civile d’un autre Etat dans les conditions définies par décret…Elle est également habilitée à délivrer des certificats d’aérodrome, à les suspendre ou les retirer ». Sa création relevait du renforcement de la sécurité et de la sûreté, en matière de transport aérien . Ce qui suppose la maîtrise de la météorologie qui est un élément essentiel du dispositif sécuritaire, tant au niveau des plateformes aéroportuaires qu’au niveau des itinéraires empruntés par les aéronefs.
SEULEMENT…
Malgré le caractère important de son travail et l’immensité de ses attributions, plusieurs manquements sont notés. Y’aurait-il un certain laxisme au sein de l’entreprise ? La question est posée, et l’on s’étonne encore que depuis l’accident de Septembre 2015, aucune sanction n’ait été encore prononcée contre l’ANACIM.
Pour mémoire, le bilan fut dramatique : 3 Sénégalais, 3 Burkinabés et une patiente française disparaissaient ainsi. L’aéronef avait disparu des radars, disait-on. La vétusté avancée de l’appareil a aussi été fortement agitée. Défaut de contrôle ? Naturellement, oui !
Aujourd’hui, l’on se demande jusqu’à quel degré la responsabilité de l’ANACIM est engagée, d’autant plus qu’il ya quelques semaines un autre avion appartenant à « Arc-en-ciel » connaissait, lui aussi, des déboires.
L’Agence Nationale de l’Aviation Civile et de la Météorologie est en effet, une fois de plus, interpellée. L’entreprise est chargée notamment de la délivration de licences à ces appareils, du contrôle de la sûreté et de la supervision de la sécurité de l’aviation civile en plus de participer aux enquêtes relatives aux incidents et de mener les enquêtes d’aviation. Dans un document fixant ses attributions, il est mentionné que « L’Agence certifie et inspecte d’une manière permanente les aéronefs évoluant à l’intérieur du territoire national, équipages et compagnies aériennes. Dans l’exécution de ses tâches de certification et d’inspection, elle peut valider les certificats et licences délivrés par l’Agence de l’Aviation civile d’un autre Etat dans les conditions définies par décret…Elle est également habilitée à délivrer des certificats d’aérodrome, à les suspendre ou les retirer ». Sa création relevait du renforcement de la sécurité et de la sûreté, en matière de transport aérien . Ce qui suppose la maîtrise de la météorologie qui est un élément essentiel du dispositif sécuritaire, tant au niveau des plateformes aéroportuaires qu’au niveau des itinéraires empruntés par les aéronefs.
SEULEMENT…
Malgré le caractère important de son travail et l’immensité de ses attributions, plusieurs manquements sont notés. Y’aurait-il un certain laxisme au sein de l’entreprise ? La question est posée, et l’on s’étonne encore que depuis l’accident de Septembre 2015, aucune sanction n’ait été encore prononcée contre l’ANACIM.
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