Après un mois passé derrière les barreaux, Ahmet Ndiaye, l’ingénieur en Génie civil qui s’était violemment attaqué à la famille du Premier ministre Ousmane Sonko, connaît enfin son sort. Hier, le Tribunal de grande instance de Ziguinchor l’a condamné à un mois de prison ferme, après avoir disqualifié les faits de menaces de mort en violences et voies de fait, rapporte L’Observateur.
Une nuit d’ivresse qui vire au scandale
Tout a basculé le 2 février dernier. En état d’ébriété avancé, Ahmet Ndiaye s’était présenté au domicile familial du Premier ministre, situé au quartier HLM Néma à Ziguinchor. Dans une crise de colère incontrôlable, il s’était mis à abreuver la famille d’injures et de menaces, ciblant particulièrement Ousmane Sonko.
Interpellé par les forces de l’ordre, il avait été placé sous mandat de dépôt, en attendant son jugement. À la barre, il a exprimé ses regrets, expliquant que son état d’ébriété l’avait poussé à commettre l’irréparable.
Un jugement clément après le pardon de la famille Sonko
Le tribunal a finalement décidé de requalifier les charges, écartant les menaces de mort pour ne retenir que les délits de conduite en état d’ébriété et d’injures publiques.
Si la peine prononcée reste relativement clémente, c’est en grande partie grâce au pardon de la famille de Sonko. En effet, la mère du Premier ministre, ainsi que ses frères, ont préféré ne pas s’acharner sur l’ingénieur. Ousmane Sonko lui-même a adopté la même posture, refusant d’influencer la Justice dans cette affaire.
« Cette décision de la Justice est considérée par la famille du Premier ministre comme une procédure normale, dont le principe est de laisser la Justice faire son travail sans interférence du Pouvoir exécutif qu’incarne aujourd’hui Ousmane Sonko dans le Pouvoir judiciaire », a déclaré Me Djiby Diagne, l’avocat du Premier ministre et de sa famille, cité par L’Observateur.
Bientôt libre
Condamné à un mois de prison ferme, Ahmet Ndiaye devrait retrouver la liberté début mars, ayant déjà purgé la quasi-totalité de sa peine. Une affaire qui, bien que spectaculaire, s’achève sans conséquences judiciaires trop lourdes pour l’ingénieur, dont le cas aurait pu être bien plus sévèrement sanctionné.
Une nuit d’ivresse qui vire au scandale
Tout a basculé le 2 février dernier. En état d’ébriété avancé, Ahmet Ndiaye s’était présenté au domicile familial du Premier ministre, situé au quartier HLM Néma à Ziguinchor. Dans une crise de colère incontrôlable, il s’était mis à abreuver la famille d’injures et de menaces, ciblant particulièrement Ousmane Sonko.
Interpellé par les forces de l’ordre, il avait été placé sous mandat de dépôt, en attendant son jugement. À la barre, il a exprimé ses regrets, expliquant que son état d’ébriété l’avait poussé à commettre l’irréparable.
Un jugement clément après le pardon de la famille Sonko
Le tribunal a finalement décidé de requalifier les charges, écartant les menaces de mort pour ne retenir que les délits de conduite en état d’ébriété et d’injures publiques.
Si la peine prononcée reste relativement clémente, c’est en grande partie grâce au pardon de la famille de Sonko. En effet, la mère du Premier ministre, ainsi que ses frères, ont préféré ne pas s’acharner sur l’ingénieur. Ousmane Sonko lui-même a adopté la même posture, refusant d’influencer la Justice dans cette affaire.
« Cette décision de la Justice est considérée par la famille du Premier ministre comme une procédure normale, dont le principe est de laisser la Justice faire son travail sans interférence du Pouvoir exécutif qu’incarne aujourd’hui Ousmane Sonko dans le Pouvoir judiciaire », a déclaré Me Djiby Diagne, l’avocat du Premier ministre et de sa famille, cité par L’Observateur.
Bientôt libre
Condamné à un mois de prison ferme, Ahmet Ndiaye devrait retrouver la liberté début mars, ayant déjà purgé la quasi-totalité de sa peine. Une affaire qui, bien que spectaculaire, s’achève sans conséquences judiciaires trop lourdes pour l’ingénieur, dont le cas aurait pu être bien plus sévèrement sanctionné.
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