Le succès à la Tyson, c’est aussi le moytou ou la prudence. Il a su éviter des écueils pour tracer sa voie. Il reconnait avoir valorisé la lutte sénégalaise. Pourtant, il n’a pas commencé sa carrière par la lutte. Ce Mike révèle qu’il a commencé par pratiquer le basket. «Je ne me suis pas senti dans le basket et j’ai viré vers la lutte», dit-il. Ensuite, il a été inspiré par ses aînés à l’image de Balla Bèye 2. «Au bout de 4 ans, ils peinaient à me battre. C’est comme ça que je me suis lancé dans ce sport», se souvient-il. Et de 1995 à 2002, il a brillé de mille feux sur le toit de la lutte. Son secret ? Il le trouve dans sa bonne communication, le marketing et l’encadrement.
A propos de ses rémunérations, il accepte que son plus gros cachet est de 150 millions de FCFA. Cachet encaissé lors de sa dernière confrontation contre Yakhya Diop Yékini. Contre Balla Gaye 2, il a empoché plus de 100 millions et contre Gris Bordeaux, sa dernière sortie, 120 millions FCFA. Un parcours qui a donné aux journalistes de la RTI «beaucoup d’honneur et de bonheur » au point qu’ils ont fini par lui dire ceci : «waw goor diambar».
Véritable mythe populaire au Sénégal, Mouhamed Ndao, selon la RTI1, est «père de trois enfants». Côté entraînement, il estime qu’en période de combat, il faisait trois séances par jour. Comment ces séances étaient-elles réparties ? Il explique : «Je me lève tous les jours à 5h du matin pour aller courir sur la plage. A midi, je vais en salle pour faire de la musculation. De midi à 14h, je récupère. A 17h, je suis en salle pour faire des contacts techniques avec mes coéquipiers.» Et de dire que «c’est dur comme boulot».
sunulamb
A propos de ses rémunérations, il accepte que son plus gros cachet est de 150 millions de FCFA. Cachet encaissé lors de sa dernière confrontation contre Yakhya Diop Yékini. Contre Balla Gaye 2, il a empoché plus de 100 millions et contre Gris Bordeaux, sa dernière sortie, 120 millions FCFA. Un parcours qui a donné aux journalistes de la RTI «beaucoup d’honneur et de bonheur » au point qu’ils ont fini par lui dire ceci : «waw goor diambar».
Véritable mythe populaire au Sénégal, Mouhamed Ndao, selon la RTI1, est «père de trois enfants». Côté entraînement, il estime qu’en période de combat, il faisait trois séances par jour. Comment ces séances étaient-elles réparties ? Il explique : «Je me lève tous les jours à 5h du matin pour aller courir sur la plage. A midi, je vais en salle pour faire de la musculation. De midi à 14h, je récupère. A 17h, je suis en salle pour faire des contacts techniques avec mes coéquipiers.» Et de dire que «c’est dur comme boulot».
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