Le quartier Keur Serigne Bara de Louga a été secoué mercredi soir par une scène macabre et incompréhensible. Un émigré, revenu au pays depuis peu, a été retrouvé mort par balle sur sa propre terrasse. Le corps sans vie de Massamba Fall, la quarantaine, a été découvert par sa propre épouse, alertée par une forte détonation au moment de la prière du crépuscule.
L’homme gisait dans une mare de sang, une arme artisanale posée à ses côtés. Une vision insoutenable, qui a fait jaillir les cris de détresse de la veuve, attirant aussitôt les voisins et les forces de l’ordre.
Une arme artisanale… achetée le jour même
Selon les premières informations recueillies par L’Observateur, Massamba Fall aurait acquis l’arme le jour même à Touba. Une arme de fabrication artisanale, dont la fiabilité laisse souvent à désirer. L’homme aurait ensuite regagné sa demeure à Louga, sans que personne ne soupçonne que ce nouvel objet allait être au centre d’un drame.
L’autopsie, attendue à Dakar, devrait permettre d’éclaircir les circonstances de ce décès. Les premiers constats établis par la police indiquent une blessure localisée au cou. Accident, suicide, ou autre hypothèse plus sombre ? Pour l’instant, les spéculations vont bon train.
Une enquête ouverte, des proches interrogés
L’enquête, confiée au commissariat central de Louga, est en cours. Les membres de la famille, dont l’épouse de la victime, ont été auditionnés. D’après leurs premières déclarations, l’hypothèse d’un accident est la plus probable. Massamba aurait mal manipulé l’arme fraîchement acquise, déclenchant le coup mortel sans intention réelle.
Mais dans le voisinage, les langues se délient. Certains pensent à un geste désespéré, d’autres suspectent une manipulation hasardeuse. En attendant les conclusions de l’autopsie, le mystère plane toujours sur cette mort brutale et inattendue.
L’homme gisait dans une mare de sang, une arme artisanale posée à ses côtés. Une vision insoutenable, qui a fait jaillir les cris de détresse de la veuve, attirant aussitôt les voisins et les forces de l’ordre.
Une arme artisanale… achetée le jour même
Selon les premières informations recueillies par L’Observateur, Massamba Fall aurait acquis l’arme le jour même à Touba. Une arme de fabrication artisanale, dont la fiabilité laisse souvent à désirer. L’homme aurait ensuite regagné sa demeure à Louga, sans que personne ne soupçonne que ce nouvel objet allait être au centre d’un drame.
L’autopsie, attendue à Dakar, devrait permettre d’éclaircir les circonstances de ce décès. Les premiers constats établis par la police indiquent une blessure localisée au cou. Accident, suicide, ou autre hypothèse plus sombre ? Pour l’instant, les spéculations vont bon train.
Une enquête ouverte, des proches interrogés
L’enquête, confiée au commissariat central de Louga, est en cours. Les membres de la famille, dont l’épouse de la victime, ont été auditionnés. D’après leurs premières déclarations, l’hypothèse d’un accident est la plus probable. Massamba aurait mal manipulé l’arme fraîchement acquise, déclenchant le coup mortel sans intention réelle.
Mais dans le voisinage, les langues se délient. Certains pensent à un geste désespéré, d’autres suspectent une manipulation hasardeuse. En attendant les conclusions de l’autopsie, le mystère plane toujours sur cette mort brutale et inattendue.
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