C’est une voix qu’on a peu entendue depuis le début de la guerre civile en Syrie. Mardi 18 octobre, la chaîne publique russe Russia 24 a diffusé une interview d’Asma al-Assad, l'épouse du président syrien Bachar Al-Assad.
Un entretien durant lequel elle affirme que des "offres" lui ont été faites pour quitter la Syrie. Ce qu’elle dit avoir toujours refusé. "Je n'ai jamais pensé à être ailleurs, indique-t-elle en anglais. Oui, j'ai eu l'occasion de quitter la Syrie, disons de fuir la Syrie. Ces offres incluaient des garanties de sécurité et de protection pour mes enfants, même une sécurité financière."
"Il ne faut pas être une lumière pour savoir quel était l'objectif véritable de ces gens (...). Il s'agissait d'une tentative délibérée de saper la confiance du peuple [syrien] envers son président", a-t-elle ajouté sans préciser qui étaient à l’origine de ces "offres".
Rumeurs de départ
Qualifiée de "Rose du désert" par le magazine américain Vogue avant la révolte contre son mari en 2011, Asma al-Assad, 41 ans, avait été vivement critiquée pour son silence face à la répression et apparaissait rarement en public.
Depuis deux ans, les médias officiels syriens la montrent de manière plus régulière, en train de recevoir des blessés de guerre, des orphelins, ou lors de parrainages d'événements sociaux ou éducatifs.
Les premières années de la guerre, des rumeurs infondées avaient circulé sur le fait qu'elle aurait alors quitté la Syrie avec ses enfants pour Londres, où elle a grandi, ou pour la Russie, qui soutient son mari.
Avec AFP
Un entretien durant lequel elle affirme que des "offres" lui ont été faites pour quitter la Syrie. Ce qu’elle dit avoir toujours refusé. "Je n'ai jamais pensé à être ailleurs, indique-t-elle en anglais. Oui, j'ai eu l'occasion de quitter la Syrie, disons de fuir la Syrie. Ces offres incluaient des garanties de sécurité et de protection pour mes enfants, même une sécurité financière."
"Il ne faut pas être une lumière pour savoir quel était l'objectif véritable de ces gens (...). Il s'agissait d'une tentative délibérée de saper la confiance du peuple [syrien] envers son président", a-t-elle ajouté sans préciser qui étaient à l’origine de ces "offres".
Rumeurs de départ
Qualifiée de "Rose du désert" par le magazine américain Vogue avant la révolte contre son mari en 2011, Asma al-Assad, 41 ans, avait été vivement critiquée pour son silence face à la répression et apparaissait rarement en public.
Depuis deux ans, les médias officiels syriens la montrent de manière plus régulière, en train de recevoir des blessés de guerre, des orphelins, ou lors de parrainages d'événements sociaux ou éducatifs.
Les premières années de la guerre, des rumeurs infondées avaient circulé sur le fait qu'elle aurait alors quitté la Syrie avec ses enfants pour Londres, où elle a grandi, ou pour la Russie, qui soutient son mari.
Avec AFP
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