Pour mettre en place l’opération «tous derrière les Lions», le comité des supporters a misé sur les ressources les cotisations de ses soutiens. «Le 12e Gaïndé a une force de mobilisation. Car, c’est un support de communication. Il y a les sociétés qui nous accompagnent et qui ont compris que le développement du sport doit être l’entreprise de tout le monde. Nous en profitons pour remercier les maires qui l’ont très bien compris car le sport est une compétence transférée», a-t-il souligné. Nabou Sembène, présidente de la section féminine du 12e Gaïndé, compte en tout cas sur une mobilisation particulière de la gent féminine. «La mobilisation est désormais très importante au niveau des femmes. Nous avons confectionné nos tenues Nous appelons toutes les femmes à venir participer et de faire bloc autour de l’équipe nationale», lance-t-elle.
Dans cette dynamique, Cheikh Fall, président commission culturelle du 12e Gaïndé n’a pas manqué de faire un clin d’œil à tout ceux qui possèdent un savoir-faire à s’impliquer positivement. «Tous ceux qui s’activent ou ayant une quelconque connaissance doivent s’impliquer pour remporter le match capital qui oppose le Sénégal et la Côte d’Ivoire. Nous avons tout à gagner si on est uni et tout à perdre si nous posons des actes tendant à diviser», fait-il savoir.
«Le Sénégal a besoin d’union et comme on le dit, l’amour de son pays est un acte de foi. Si le Sénégal rate ce virage, il faudrait attendre encore deux ans. Prenons donc nos chapelets et utilisons tout ce qui est à notre possession pour faire qualifier nos Lions», a-t-il insisté.
Dans cette dynamique, Cheikh Fall, président commission culturelle du 12e Gaïndé n’a pas manqué de faire un clin d’œil à tout ceux qui possèdent un savoir-faire à s’impliquer positivement. «Tous ceux qui s’activent ou ayant une quelconque connaissance doivent s’impliquer pour remporter le match capital qui oppose le Sénégal et la Côte d’Ivoire. Nous avons tout à gagner si on est uni et tout à perdre si nous posons des actes tendant à diviser», fait-il savoir.
«Le Sénégal a besoin d’union et comme on le dit, l’amour de son pays est un acte de foi. Si le Sénégal rate ce virage, il faudrait attendre encore deux ans. Prenons donc nos chapelets et utilisons tout ce qui est à notre possession pour faire qualifier nos Lions», a-t-il insisté.
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