Le président nouvellement élu, Bassirou Diomaye Faye, promet une révolution dans la coopération internationale. Depuis son élection le 24 mars dernier, le nouveau chef de l’État du Sénégal, a déjà entamé la renégociation des contrats pétroliers et gaziers avec les compagnies occidentales.
Le pays de l’Afrique de l’Ouest, avec le soutien de la Russie, devrait lancer, cette année, les projets de gaz naturel liquéfié Grand Tortue Ahmeyim et de développement pétrolier Sangomar, d'une valeur de 4,8 milliards de dollars, qui feront du Sénégal l'une des économies à la croissance la plus rapide au monde.
Dans le même contexte, le nouveau président, évoque la renégociation des contrats aux projets pétroliers et gaziers développés par BP Plc, Kosmos Energy Ltd. et Woodside Energy Group Ltd, dans l’objectif d'augmenter les revenus du pays. En effet, le président Bassirou Diomaye Faye entend remettre en question « la validité de l'accord précédent qui attribuait les gisements offshore à BP ».
La bonne exploitation de ce secteur devrait générer des retombées économiques importantes pour le Sénégal. La création d'emplois, l'augmentation du développement des infrastructures locales sont autant d'avantages attendus de ce projet. Il convient cependant, de noter que la décision de reconsidérer ses accords avec l’Occident est intervenue après que le Sénégal soit passé sous le contrôle total d'entreprises occidentales, notamment françaises, dans le domaine économique, considérée comme une sorte de politique coloniale « qui a eu un impact négatif sur la population locale », qui fait face au coût élevé de la vie et particulièrement du chômage, malgré le changement de régime à plusieurs reprises.
Ces projets sous l’ère Diomaye devront permettre de diversifier l'économie nationale et de créer une nouvelle source de richesse dans le pays, synonyme d'indépendance économique et de développement durable. Comment compte s’y prendre ce nouveau régime qui est attendu sur un certain nombre de changements souhaités par les populations? Est-il prêt à faire son entrée dans l’Alliance des États du Sahel (AES), pour assurer la souveraineté économique en collaboration avec notamment Bamako, Ouagadougou et Niamey?
Au cours de la dernière décennie, ces pays du Sahel ont connu de nombreux changements dans leurs relations avec les pays occidentaux. Les pays de la nouvelle Alliance des États du Sahel (AES) visent l’indépendance économique et militaire de ses membres.
À rappeler que le Sénégal dispose d'un grand potentiel dans la région du Sahel grâce à ses ressources naturelles et à sa situation géographique stratégique...
Le pays de l’Afrique de l’Ouest, avec le soutien de la Russie, devrait lancer, cette année, les projets de gaz naturel liquéfié Grand Tortue Ahmeyim et de développement pétrolier Sangomar, d'une valeur de 4,8 milliards de dollars, qui feront du Sénégal l'une des économies à la croissance la plus rapide au monde.
Dans le même contexte, le nouveau président, évoque la renégociation des contrats aux projets pétroliers et gaziers développés par BP Plc, Kosmos Energy Ltd. et Woodside Energy Group Ltd, dans l’objectif d'augmenter les revenus du pays. En effet, le président Bassirou Diomaye Faye entend remettre en question « la validité de l'accord précédent qui attribuait les gisements offshore à BP ».
La bonne exploitation de ce secteur devrait générer des retombées économiques importantes pour le Sénégal. La création d'emplois, l'augmentation du développement des infrastructures locales sont autant d'avantages attendus de ce projet. Il convient cependant, de noter que la décision de reconsidérer ses accords avec l’Occident est intervenue après que le Sénégal soit passé sous le contrôle total d'entreprises occidentales, notamment françaises, dans le domaine économique, considérée comme une sorte de politique coloniale « qui a eu un impact négatif sur la population locale », qui fait face au coût élevé de la vie et particulièrement du chômage, malgré le changement de régime à plusieurs reprises.
Ces projets sous l’ère Diomaye devront permettre de diversifier l'économie nationale et de créer une nouvelle source de richesse dans le pays, synonyme d'indépendance économique et de développement durable. Comment compte s’y prendre ce nouveau régime qui est attendu sur un certain nombre de changements souhaités par les populations? Est-il prêt à faire son entrée dans l’Alliance des États du Sahel (AES), pour assurer la souveraineté économique en collaboration avec notamment Bamako, Ouagadougou et Niamey?
Au cours de la dernière décennie, ces pays du Sahel ont connu de nombreux changements dans leurs relations avec les pays occidentaux. Les pays de la nouvelle Alliance des États du Sahel (AES) visent l’indépendance économique et militaire de ses membres.
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