Khalifa Sall sera-t-il candidat à la prochaine élection présidentielle ? Va-t-il battre campagne en prenant ses distances avec la coalition Bennoo Bokk Yaakaar ? Sera-t-il accompagné par sa formation politique ou va-t-il mettre en place une coalition soutenue par des personnalités politiques et de la société reconnues ?
Il est difficile de répondre à l’ensemble de ces interrogations car, de manière très simple, celui qui est maire de Dakar depuis 2009 n’a pas encore fait une déclaration officielle et publique pour indiquer à l’opinion s’il sera de la course de 2017 et/ou de 2019. Pourtant, nombre de Sénégalais ont fini de mettre en place des mouvements de soutien, déclarant avec insistance qu’il sera le cinquième Président de la République du Sénégal.
Mieux, à toutes les occasions, ils n’hésitent pas à prendre position pour défendre leur mentor de toute attaque, surtout dans le cadre de l’emprunt obligataire, de la gestion de ordures et des nombreuses «incongruités» notées dans le cadre de la mise en œuvre de l’Acte 3 de la décentralisation.
Face à toutes ses questions centrales où des observateurs sont unanimes à défendre que le régime du Président Macky Sall cherche à liquider un véritable potentiel adversaire, lui-même n’a pas encore pris une décision connue de tout le monde et son parti continue de réclamer avec insistance son appartenance à la principale coalition présidentielle.
Et, malgré les nombreuses supputations qui parlent d’une relation froide entre le maire de Dakar et Ousmane Tanor Dieng, patron des «Verts», le constat est autre. Ils sont ensemble, discutent et sourient ensemble. Ce qui pousse à affirmer que les rapports entre les deux hommes sont au beau fixe. Même si du reste, il faut savoir qu’en politique, un sourire et une poignée de main à la forte dose de chaleur peuvent n'être que poussière aux yeux.
Mais, pour le cas de Khalifa Sall, il faut surtout retenir qu’il n’a pas encore éclairé la lanterne de ses souteneurs, non sans affirmer, il y a quelques semaines, n’être derrière aucun mouvement de soutien.
Dans tous les cas, il reste et demeure un candidat potentiel pour la prochaine élection présidentielle. Reste à savoir s’il fera une déclaration de candidature, s’il attend d’avoir une idée du calendrier électoral ou s’il travaille à convaincre son parti de l’impérieuse nécessité de ne pas rater un tel rendez-vous, surtout pour le Ps, la plus vieille formation politique du Sénégal qui a dirigé le pays de 1960 à 2000. Dans tous les cas et jusqu’à présent, il est un candidat non déclaré.
Il est difficile de répondre à l’ensemble de ces interrogations car, de manière très simple, celui qui est maire de Dakar depuis 2009 n’a pas encore fait une déclaration officielle et publique pour indiquer à l’opinion s’il sera de la course de 2017 et/ou de 2019. Pourtant, nombre de Sénégalais ont fini de mettre en place des mouvements de soutien, déclarant avec insistance qu’il sera le cinquième Président de la République du Sénégal.
Mieux, à toutes les occasions, ils n’hésitent pas à prendre position pour défendre leur mentor de toute attaque, surtout dans le cadre de l’emprunt obligataire, de la gestion de ordures et des nombreuses «incongruités» notées dans le cadre de la mise en œuvre de l’Acte 3 de la décentralisation.
Face à toutes ses questions centrales où des observateurs sont unanimes à défendre que le régime du Président Macky Sall cherche à liquider un véritable potentiel adversaire, lui-même n’a pas encore pris une décision connue de tout le monde et son parti continue de réclamer avec insistance son appartenance à la principale coalition présidentielle.
Et, malgré les nombreuses supputations qui parlent d’une relation froide entre le maire de Dakar et Ousmane Tanor Dieng, patron des «Verts», le constat est autre. Ils sont ensemble, discutent et sourient ensemble. Ce qui pousse à affirmer que les rapports entre les deux hommes sont au beau fixe. Même si du reste, il faut savoir qu’en politique, un sourire et une poignée de main à la forte dose de chaleur peuvent n'être que poussière aux yeux.
Mais, pour le cas de Khalifa Sall, il faut surtout retenir qu’il n’a pas encore éclairé la lanterne de ses souteneurs, non sans affirmer, il y a quelques semaines, n’être derrière aucun mouvement de soutien.
Dans tous les cas, il reste et demeure un candidat potentiel pour la prochaine élection présidentielle. Reste à savoir s’il fera une déclaration de candidature, s’il attend d’avoir une idée du calendrier électoral ou s’il travaille à convaincre son parti de l’impérieuse nécessité de ne pas rater un tel rendez-vous, surtout pour le Ps, la plus vieille formation politique du Sénégal qui a dirigé le pays de 1960 à 2000. Dans tous les cas et jusqu’à présent, il est un candidat non déclaré.
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