Plusieurs millions de pèlerins, selon certaines estimations, convergent vers Touba, épicentre des célébrations du grand Magal. Et Dakar, à l’instar des autres régions du pays, se vide progressivement de ses fidèles mourides.
Des hommes, femmes et enfants ont pris d'assaut les moyens de transport pour parcourir les quelques 190 kilomètres qui séparent Dakar de Touba. La communauté mouride au Sénégal célèbre, ce jeudi 17 octobre, le grand Magal, marquant l’anniversaire du départ en exil (12 août 1895) du fondateur du Mouridisme, Cheikh Ahmadou Bamba (1853-1927).
Si les fidèles mourides ont déserté la capitale, les automobilistes peuvent se réjouir de l'absence d'embouteillages. «Il n'y a presque plus de mourides à Dakar. Même ceux qui ne sont pas de la confrérie de Cheikh Ahmadou Bamba sont partis. Comme vous voyez, les rues sont vides, j'ai trouvé à me garer très rapidement», confie un homme interrogé à Ouest Foire.
Le trafic des cars de transport en commun demeure très faible dans les jours qui précèdent le grand Magal de Touba. On n’en compte que quelques dizaines dans Dakar, avec des bus moins bondés. On remarque encore moins de véhicules dans les avenues et autres grandes routes avec peu de bouchons.
La capitale est effectivement toujours plus calme à chaque veille de Magal de Touba, pendant que les photos de fidèles présents dans la ville sainte défilent sur Facebook, Twitter ou Instagram. Cette fête religieuse rassemble pendant trois jours plus de trois millions de mourides venus de partout faire le voyage de Touba.
Des hommes, femmes et enfants ont pris d'assaut les moyens de transport pour parcourir les quelques 190 kilomètres qui séparent Dakar de Touba. La communauté mouride au Sénégal célèbre, ce jeudi 17 octobre, le grand Magal, marquant l’anniversaire du départ en exil (12 août 1895) du fondateur du Mouridisme, Cheikh Ahmadou Bamba (1853-1927).
Si les fidèles mourides ont déserté la capitale, les automobilistes peuvent se réjouir de l'absence d'embouteillages. «Il n'y a presque plus de mourides à Dakar. Même ceux qui ne sont pas de la confrérie de Cheikh Ahmadou Bamba sont partis. Comme vous voyez, les rues sont vides, j'ai trouvé à me garer très rapidement», confie un homme interrogé à Ouest Foire.
Le trafic des cars de transport en commun demeure très faible dans les jours qui précèdent le grand Magal de Touba. On n’en compte que quelques dizaines dans Dakar, avec des bus moins bondés. On remarque encore moins de véhicules dans les avenues et autres grandes routes avec peu de bouchons.
La capitale est effectivement toujours plus calme à chaque veille de Magal de Touba, pendant que les photos de fidèles présents dans la ville sainte défilent sur Facebook, Twitter ou Instagram. Cette fête religieuse rassemble pendant trois jours plus de trois millions de mourides venus de partout faire le voyage de Touba.
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