« Il est prématuré de parler de fin de carrière. Je ne peux prendre une décision à chaud. Je compte aller me reposer et prendre le temps de discuter avec mon staff. Depuis le gala (dimanche 24 juillet), je ne suis pas retourné chez moi (à Joal). De plus, je ne saurais prendre une décision sans en parler avec les gens avec lesquels je collabore depuis 1993. Pour le moment, donc, retenez que je suis encore dans l’arène. »
Attendu depuis sa défaite contre Lac de Guiers 2 (Walo), Yakhya Diop alias Yékini a servi cette réponse aux amateurs à propos de son avenir dans l’arène. «S’ils (les membres de son staff) me disent d’arrêter, je le ferais. C’est dur pour mes supporters qui habitent Joal et Bassoul, vu le trajet qui mène à Dakar. Je me bats pour ces gens. (...) Je ne me base pas sur l’âge. Je me dis que je vais arrêter quand je sentirais que je n’ai plus les aptitudes pour avancer. C’est à cause de la défaite qu’on parle de ma retraite. Si j’avais terrassé (Lac 2), ce ne serait pas le cas», a ajouté le chef de file de l’écurie Ndakaru.
«Le plaquage, c’est pour faire tomber les débutants»
«Je n’ai pas dit qu’il n’y a pas de défaite en sport mais que je n’y crois pas. Le plaquage, c’est pour faire tomber les débutants. Mais c’est ça la lutte. D’habitude, on te bat sur ton point fort», dit-il au sujet de sa deuxième chute en carrière.
Des rumeurs sur son état physique ont circulé après ce revers, justement. Lui, botte en touche. «Vraiment, quoi qu’il puisse se passer, il faut considérer que cela relève des réalités de la lutte. Parler de ma manière de marcher ou une quelconque maladie n’a pas sa place ici. C’était un soir de défaite», a expliqué Yékini non sans aborder le volet mystique : «J’ai d'abord bourlingué en lutte simple. Là-bas, c’est plus compliqué car on fait tout, tout seul. Avec l’évolution de la lutte, on voit tout un monde derrière. Pour dire vrai, je n’ai pas été atteint mystiquement dans ce combat. Les nouveaux gris-gris, ce sont juste des recommandations. On ne peut emmener quelque chose de nouveau en la matière. Il faut demander à nos aînés.»
Attendu depuis sa défaite contre Lac de Guiers 2 (Walo), Yakhya Diop alias Yékini a servi cette réponse aux amateurs à propos de son avenir dans l’arène. «S’ils (les membres de son staff) me disent d’arrêter, je le ferais. C’est dur pour mes supporters qui habitent Joal et Bassoul, vu le trajet qui mène à Dakar. Je me bats pour ces gens. (...) Je ne me base pas sur l’âge. Je me dis que je vais arrêter quand je sentirais que je n’ai plus les aptitudes pour avancer. C’est à cause de la défaite qu’on parle de ma retraite. Si j’avais terrassé (Lac 2), ce ne serait pas le cas», a ajouté le chef de file de l’écurie Ndakaru.
«Le plaquage, c’est pour faire tomber les débutants»
«Je n’ai pas dit qu’il n’y a pas de défaite en sport mais que je n’y crois pas. Le plaquage, c’est pour faire tomber les débutants. Mais c’est ça la lutte. D’habitude, on te bat sur ton point fort», dit-il au sujet de sa deuxième chute en carrière.
Des rumeurs sur son état physique ont circulé après ce revers, justement. Lui, botte en touche. «Vraiment, quoi qu’il puisse se passer, il faut considérer que cela relève des réalités de la lutte. Parler de ma manière de marcher ou une quelconque maladie n’a pas sa place ici. C’était un soir de défaite», a expliqué Yékini non sans aborder le volet mystique : «J’ai d'abord bourlingué en lutte simple. Là-bas, c’est plus compliqué car on fait tout, tout seul. Avec l’évolution de la lutte, on voit tout un monde derrière. Pour dire vrai, je n’ai pas été atteint mystiquement dans ce combat. Les nouveaux gris-gris, ce sont juste des recommandations. On ne peut emmener quelque chose de nouveau en la matière. Il faut demander à nos aînés.»
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