Ce lundi, le Premier ministre du Sénégal, Ousmane Sonko, a officiellement lancé les travaux de la deuxième phase du projet d’approvisionnement en eau potable en milieu rural, à Fass Touré (Kébémer). Cette initiative, portée par les Autoroutes de l’Eau, vise à résoudre de manière durable, sur un horizon moyen à long terme, les problèmes de disponibilité de l’eau partout, pour tous et pour tous les usages. Ce projet s’inscrit dans un dispositif global visant à niveler les conditions d’accès à l’eau potable entre les milieux rural et urbain, afin de répondre aux mêmes standards.
Par ailleurs, les travaux liés à ce projet, en plus de s’aligner sur le référentiel qui fait de l’équité un principe majeur, contribueront à l’atteinte des Objectifs de Développement Durable (ODD), notamment son volet 6 : « Eau propre et assainissement ».
Un projet ambitieux doté d’un budget conséquent
Le Premier ministre a expliqué que « avec un budget de près de 100 millions de dollars, soit plus de 60 milliards de FCFA, ces travaux, dont la durée est de 30 mois, portent, entre autres, sur :
- 85 forages (dont 35 nouveaux et 50 renouvellements),
- 89 châteaux d’eau (dont 35 nouveaux et 54 renouvellements),
- 5 unités de potabilisation et de traitement d’eau de surface,
- 1 450 km de réseaux,
- 85 équipements d’exhaure complets,
- 5 250 compteurs de renouvellement,
- 18 200 branchements particuliers,
- 300 bornes-fontaines,
- 85 abreuvoirs,
- 70 potences,
- 235 unités de chloration. »
Un impact significatif sur les populations rurales
À terme, ces ouvrages et installations impacteront positivement les conditions de vie de plus de 2 000 000 de personnes vivant dans plusieurs zones rurales de toutes les régions du Sénégal, à l’exception de Dakar.
Par ailleurs, les travaux liés à ce projet, en plus de s’aligner sur le référentiel qui fait de l’équité un principe majeur, contribueront à l’atteinte des Objectifs de Développement Durable (ODD), notamment son volet 6 : « Eau propre et assainissement ».
Un projet ambitieux doté d’un budget conséquent
Le Premier ministre a expliqué que « avec un budget de près de 100 millions de dollars, soit plus de 60 milliards de FCFA, ces travaux, dont la durée est de 30 mois, portent, entre autres, sur :
- 85 forages (dont 35 nouveaux et 50 renouvellements),
- 89 châteaux d’eau (dont 35 nouveaux et 54 renouvellements),
- 5 unités de potabilisation et de traitement d’eau de surface,
- 1 450 km de réseaux,
- 85 équipements d’exhaure complets,
- 5 250 compteurs de renouvellement,
- 18 200 branchements particuliers,
- 300 bornes-fontaines,
- 85 abreuvoirs,
- 70 potences,
- 235 unités de chloration. »
Un impact significatif sur les populations rurales
À terme, ces ouvrages et installations impacteront positivement les conditions de vie de plus de 2 000 000 de personnes vivant dans plusieurs zones rurales de toutes les régions du Sénégal, à l’exception de Dakar.
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