Les chauffeurs de l'administration, regroupés autour de leur amicale, ont fait face à la presse ce 24 juin 2022 à la sphère ministérielle Ousmane Tanor Dieng, pour dénoncer l'injustice dont ils sont victimes.
Ces derniers regroupés autour d'une amicale ont profité de cette rencontre avec la presse pour attirer l'attention des autorités sur leurs conditions de travail et le recrutement dans la fonction publique de plusieurs d'entre eux qui sont de simples prestataires depuis plusieurs années.
Selon Matar Guèye, le président de la dite amicale, "par exemple, notre prime de risque qui est 60 000 fcfa par an a été voté depuis 1982. Mais rien n'a changé depuis lors. Nous gagnons des salaires très très dérisoires. On nous donne des voitures d'une valeur de plus de 30 millions, mais on nous paie des salaires qui tournent autour de 132.000 FCFA et poussière..."
Des démarches ont été faites auprès de l'ancien directeur de la fonction publique. "Les discutions étaient très avancées. On avait évoqué le cas des contractuels mais malheureusement, il est parti. On discute actuellement avec son successeur. Mais les choses traînent. Il y a aussi le cas des chauffeurs qui sont dans l'administration décentralisée. Les chauffeurs des préfets, gouverneurs, sous-préfets, souffrent le martyre dans les régions car ils ont comme prime de logement 6.000 FCFA. C'est une somme très dérisoire. Nous demandons que nos droits soient respectés. Ils ont augmenté le salaire des agents du ministère de la santé. On attend la même chose...", fera-t-il savoir...
Ces derniers regroupés autour d'une amicale ont profité de cette rencontre avec la presse pour attirer l'attention des autorités sur leurs conditions de travail et le recrutement dans la fonction publique de plusieurs d'entre eux qui sont de simples prestataires depuis plusieurs années.
Selon Matar Guèye, le président de la dite amicale, "par exemple, notre prime de risque qui est 60 000 fcfa par an a été voté depuis 1982. Mais rien n'a changé depuis lors. Nous gagnons des salaires très très dérisoires. On nous donne des voitures d'une valeur de plus de 30 millions, mais on nous paie des salaires qui tournent autour de 132.000 FCFA et poussière..."
Des démarches ont été faites auprès de l'ancien directeur de la fonction publique. "Les discutions étaient très avancées. On avait évoqué le cas des contractuels mais malheureusement, il est parti. On discute actuellement avec son successeur. Mais les choses traînent. Il y a aussi le cas des chauffeurs qui sont dans l'administration décentralisée. Les chauffeurs des préfets, gouverneurs, sous-préfets, souffrent le martyre dans les régions car ils ont comme prime de logement 6.000 FCFA. C'est une somme très dérisoire. Nous demandons que nos droits soient respectés. Ils ont augmenté le salaire des agents du ministère de la santé. On attend la même chose...", fera-t-il savoir...
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