
L’ancienne Présidente du Conseil Économique Social et Environnemental (CESE), Aminata Touré, sur la question du deuxième mandat, reste droite dans ses bottes.
La position qu’elle avait exprimée lors d’une conférence virtuelle sur la limitation des mandats reste la même.
Elle a d’ailleurs rappelé les dispositions adoptées en 2016 lors du référendum et notamment l’article 27 de la Constitution qui stipule que « Nul ne peut exercer plus de deux mandats consécutifs ».
Elle confirme ainsi dans un entretien avec Jeune Afrique que « Macky Sall a assuré à plusieurs reprises qu’il ne briguerait pas un troisième mandat » et qu’elle n’a fait que le rappeler. Elle a aussi réaffirmé n’avoir pas attendu d’avoir quitté le CESE pour l’affirmer. « Je l’avais dit avant la réélection du Président Macky Sall et je l’ai redit avant d’être nommée au CESE. Puis à nouveau pendant que j’exerçais cette fonction et je vous le confirme aujourd’hui », a-t-elle déclaré.
Pour Aminata Touré d’ailleurs, il ne s’agit pas seulement de la démocratie sénégalaise, puisque « sur le continent depuis que ce type de limitation est inscrit dans les Constitutions 21 chefs d’État dans 14 pays ont quitté leur fonction du fait des dispositions sur la limitation des mandats », a-t-elle fait savoir. « Macky Sall a assuré à plusieurs reprises qu’il ne briguerait pas un troisième mandat. Je n’ai fait que le rappeler. Les dispositions adoptées en 2016 sont d’ailleurs claires sur ce point il suffit de relire l’article 27 de la Constitution « Nul ne peut exercer plus de deux mandats consécutifs », a dit l’ancien Premier ministre.
Si sa supposée ambition présidentielle est soulignée par certains comme un élément qui a poussé le chef de l’État Macky Sall à la déchoir de son poste, Mimi Touré elle, de répliquer que l’ambition en soi même n’est pas un délit en politique au contraire. « Dans un système politique concurrentiel, on ne reste pas assis à regarder passer les trains. Un politicien sans ambition, c’est un politicien qui ne vous dit pas la vérité. Bien sûr encore faut-il que cette ambition ne soit pas dévorante et ne vous conduise pas à la déloyauté. Mais elle est le signe que l’on souhaite passer à une étape ultérieure pour être encore plus utile à son pays. Personnellement je suis pour qu’on célèbre l’ambition saine ». Elle a enfin donné rendez-vous plus tard pour revenir sur la question.
La position qu’elle avait exprimée lors d’une conférence virtuelle sur la limitation des mandats reste la même.
Elle a d’ailleurs rappelé les dispositions adoptées en 2016 lors du référendum et notamment l’article 27 de la Constitution qui stipule que « Nul ne peut exercer plus de deux mandats consécutifs ».
Elle confirme ainsi dans un entretien avec Jeune Afrique que « Macky Sall a assuré à plusieurs reprises qu’il ne briguerait pas un troisième mandat » et qu’elle n’a fait que le rappeler. Elle a aussi réaffirmé n’avoir pas attendu d’avoir quitté le CESE pour l’affirmer. « Je l’avais dit avant la réélection du Président Macky Sall et je l’ai redit avant d’être nommée au CESE. Puis à nouveau pendant que j’exerçais cette fonction et je vous le confirme aujourd’hui », a-t-elle déclaré.
Pour Aminata Touré d’ailleurs, il ne s’agit pas seulement de la démocratie sénégalaise, puisque « sur le continent depuis que ce type de limitation est inscrit dans les Constitutions 21 chefs d’État dans 14 pays ont quitté leur fonction du fait des dispositions sur la limitation des mandats », a-t-elle fait savoir. « Macky Sall a assuré à plusieurs reprises qu’il ne briguerait pas un troisième mandat. Je n’ai fait que le rappeler. Les dispositions adoptées en 2016 sont d’ailleurs claires sur ce point il suffit de relire l’article 27 de la Constitution « Nul ne peut exercer plus de deux mandats consécutifs », a dit l’ancien Premier ministre.
Si sa supposée ambition présidentielle est soulignée par certains comme un élément qui a poussé le chef de l’État Macky Sall à la déchoir de son poste, Mimi Touré elle, de répliquer que l’ambition en soi même n’est pas un délit en politique au contraire. « Dans un système politique concurrentiel, on ne reste pas assis à regarder passer les trains. Un politicien sans ambition, c’est un politicien qui ne vous dit pas la vérité. Bien sûr encore faut-il que cette ambition ne soit pas dévorante et ne vous conduise pas à la déloyauté. Mais elle est le signe que l’on souhaite passer à une étape ultérieure pour être encore plus utile à son pays. Personnellement je suis pour qu’on célèbre l’ambition saine ». Elle a enfin donné rendez-vous plus tard pour revenir sur la question.
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