Après sa proposition de reprendre le processus électoral vu les multiples contestations de la classe politique pour apaiser la tension électorale qui est plus que électrique, le fondateur de Afrika Jom Center reprend encore la parole. Alioune Tine pulvérise tout sur son passage.
Selon lui, les causes profondes et cumulatives de l’impasse sont « une loi électorale qui dysfonctionne, une administration qui dysfonctionne et qui est dans le conflit d’intérêts, une justice perçue comme incompétente et pas impartiale et faiblesse de la régulation sociale. Le Sénégal ne doit pas plonger » fait-il savoir sur son compte Twitter. Une position très claire de l'aperçu qu’a ce membre de la société civile qui avait lutté contre le régime du président Wade sur ces projets « antidémocratiques » en 2011.
Et selon certains observateurs, l'histoire a bégayé car c'est le processus électoral et la question de mandat qui reviennent encore, même si cette année la question du parrainage occupe la plus grande part de la contestation populaire.
Selon lui, les causes profondes et cumulatives de l’impasse sont « une loi électorale qui dysfonctionne, une administration qui dysfonctionne et qui est dans le conflit d’intérêts, une justice perçue comme incompétente et pas impartiale et faiblesse de la régulation sociale. Le Sénégal ne doit pas plonger » fait-il savoir sur son compte Twitter. Une position très claire de l'aperçu qu’a ce membre de la société civile qui avait lutté contre le régime du président Wade sur ces projets « antidémocratiques » en 2011.
Et selon certains observateurs, l'histoire a bégayé car c'est le processus électoral et la question de mandat qui reviennent encore, même si cette année la question du parrainage occupe la plus grande part de la contestation populaire.
Autres articles
-
Un séisme de magnitude 7,8 frappe le sud de la Turquie (USGS)
-
Sacre au Chan 2023, le ministre des sports, Yankhona Diatara, compte mainetenir la culture de la gagne …
-
Tambacounda / Périmètre agricole de Wassadou : Un incendie emporte des dizaines d’hectares de bananiers.
-
Burkina: au moins 18 morts lors de deux attaques dans le nord et l'est
-
Mali: la junte expulse le chef de la division des droits de l'homme de la mission de l'ONU