Disparu des radars après sa défaite contre Franc, Ama Baldé est finalement réapparu… mais cette fois devant la Commission règlement et discipline du CNG. Selon L’Observateur, le lutteur de Pikine a été auditionné à huis clos mercredi dernier, avant de repasser devant l’instance disciplinaire hier mardi. En jeu : son reliquat du combat du 16 février dernier, mais aussi d’éventuelles sanctions lourdes après sa bagarre avec Franc lors du face-à-face du 18 janvier.
Un retour discret après une longue absence
Après son revers contre Franc, Ama Baldé avait entretenu un mystère total sur sa disparition, alimentant rumeurs et spéculations. Mais il ne pouvait éternellement fuir le CNG, surtout avec son reliquat bloqué. Ainsi, sans crier gare, il a discrètement répondu à la convocation de la Commission règlement et discipline du CNG, le 5 mars dernier, quelques heures après s’être affiché dans les rues de Pikine.
L’audition portait sur les incidents survenus lors du face-à-face du 18 janvier, où lui et Franc avaient abandonné la joute verbale pour une véritable bagarre. À l’époque, Franc avait déjà été sanctionné : trois mois de suspension, dont un mois ferme, et une amende de plus de 2 millions FCFA. Ama Baldé, lui, n’avait pas encore été entendu… jusqu’à maintenant.
Un lutteur sous pression
Mais cette première audition ne suffisait pas. Hier mardi, Ama Baldé a dû de nouveau s’expliquer devant le CNG. Cette fois, l’enjeu était double :
1. Sa responsabilité dans la bagarre avec Franc, qui pourrait lui valoir une sanction plus sévère que celle de son adversaire.
2. Son absence prolongée et son retard dans la convocation du jour du combat, deux infractions qui ne passent pas auprès du CNG.
Selon L’Observateur, le fils de Falaye Baldé pourrait écoper d’une suspension de six mois ferme. Une sanction qui, si elle se confirme, mettrait un sérieux coup de frein à sa carrière.
Une sanction salée en vue ?
Outre une éventuelle suspension, Ama Baldé risque aussi une sanction pécuniaire importante. Le CNG est connu pour ne pas faire de cadeaux aux lutteurs qui enfreignent le règlement. En plus de la bagarre avec Franc, son retard à l’arène le jour du combat, son nombre excessif d’accompagnateurs et son dépassement du temps de préparation pourraient lui coûter cher.
Si Franc a déjà payé le prix fort, Ama Baldé, qui a longtemps évité le face-à-face avec le CNG, pourrait subir une punition encore plus exemplaire. Son reliquat, toujours confisqué, sera défalqué des sanctions financières qu’il devra régler.
Verdict imminent
Désormais, le lutteur pikinois attend de connaître son sort. Son clan espère une clémence, mais tout porte à croire que le CNG ne laissera rien passer. Une suspension de six mois et une amende lourde pourraient bien freiner ses ambitions… et lui rappeler que la lutte se joue autant dans l’arène que dans le respect des règles.
Un retour discret après une longue absence
Après son revers contre Franc, Ama Baldé avait entretenu un mystère total sur sa disparition, alimentant rumeurs et spéculations. Mais il ne pouvait éternellement fuir le CNG, surtout avec son reliquat bloqué. Ainsi, sans crier gare, il a discrètement répondu à la convocation de la Commission règlement et discipline du CNG, le 5 mars dernier, quelques heures après s’être affiché dans les rues de Pikine.
L’audition portait sur les incidents survenus lors du face-à-face du 18 janvier, où lui et Franc avaient abandonné la joute verbale pour une véritable bagarre. À l’époque, Franc avait déjà été sanctionné : trois mois de suspension, dont un mois ferme, et une amende de plus de 2 millions FCFA. Ama Baldé, lui, n’avait pas encore été entendu… jusqu’à maintenant.
Un lutteur sous pression
Mais cette première audition ne suffisait pas. Hier mardi, Ama Baldé a dû de nouveau s’expliquer devant le CNG. Cette fois, l’enjeu était double :
1. Sa responsabilité dans la bagarre avec Franc, qui pourrait lui valoir une sanction plus sévère que celle de son adversaire.
2. Son absence prolongée et son retard dans la convocation du jour du combat, deux infractions qui ne passent pas auprès du CNG.
Selon L’Observateur, le fils de Falaye Baldé pourrait écoper d’une suspension de six mois ferme. Une sanction qui, si elle se confirme, mettrait un sérieux coup de frein à sa carrière.
Une sanction salée en vue ?
Outre une éventuelle suspension, Ama Baldé risque aussi une sanction pécuniaire importante. Le CNG est connu pour ne pas faire de cadeaux aux lutteurs qui enfreignent le règlement. En plus de la bagarre avec Franc, son retard à l’arène le jour du combat, son nombre excessif d’accompagnateurs et son dépassement du temps de préparation pourraient lui coûter cher.
Si Franc a déjà payé le prix fort, Ama Baldé, qui a longtemps évité le face-à-face avec le CNG, pourrait subir une punition encore plus exemplaire. Son reliquat, toujours confisqué, sera défalqué des sanctions financières qu’il devra régler.
Verdict imminent
Désormais, le lutteur pikinois attend de connaître son sort. Son clan espère une clémence, mais tout porte à croire que le CNG ne laissera rien passer. Une suspension de six mois et une amende lourde pourraient bien freiner ses ambitions… et lui rappeler que la lutte se joue autant dans l’arène que dans le respect des règles.
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