Un Belge, dénommé Dirk Borgers, aurait envoyé une lettre de trois pages au colonel Kadhafi durant la crise libyenne pour lui proposer de lui faire réussir sa sortie afin d'éviter tout bain de sang supplémentaire.
Le citoyen belge demandait à Kadhafi 10 millions de dollars pour le sauver, peut-on lire dimanche dans les quotidiens du groupe Sudpresse.
L'homme, âgé de 68 ans et originaire de Lokeren, a confirmé l'information à un journaliste du New York Post qui est parvenu à le joindre. "J'étais présent en Libye à cette époque et j'ai vu ce qui se passait. J'ai voulu qu'on arrête cette boucherie. J'estimais que Kadhafi devait rester au poste jusqu'au moment des élections", a expliqué cet ingénieur de formation.
La proposition n'était cependant pas gratuite. Dans sa lettre, le Belge demandait à Kadhafi 10 millions de dollars pour le sauver et associait à la possible opération un groupe d'experts américains, l'American Action Group, composé notamment de Neil Livingstone, spécialiste en lutte contre le terrorisme, écrivain, présentateur à la télé et candidat républicain au poste de gouverneur du Montana.
Ce groupe rassemblait aussi Marty Martin, un ancien membre de la CIA qui avait été chargé de retrouver la trace de Ben Laden, Neil Apert qui avait oeuvré dans un groupe de lobby pro-israélien et l'avocat Randell Wood de Kansas City.
"Nous n'étions pas mus par l'appât de l'argent", a précisé Dirk Borgers qui n'a jamais reçu de réponse de Kadhafi. (belga)
Le citoyen belge demandait à Kadhafi 10 millions de dollars pour le sauver, peut-on lire dimanche dans les quotidiens du groupe Sudpresse.
L'homme, âgé de 68 ans et originaire de Lokeren, a confirmé l'information à un journaliste du New York Post qui est parvenu à le joindre. "J'étais présent en Libye à cette époque et j'ai vu ce qui se passait. J'ai voulu qu'on arrête cette boucherie. J'estimais que Kadhafi devait rester au poste jusqu'au moment des élections", a expliqué cet ingénieur de formation.
La proposition n'était cependant pas gratuite. Dans sa lettre, le Belge demandait à Kadhafi 10 millions de dollars pour le sauver et associait à la possible opération un groupe d'experts américains, l'American Action Group, composé notamment de Neil Livingstone, spécialiste en lutte contre le terrorisme, écrivain, présentateur à la télé et candidat républicain au poste de gouverneur du Montana.
Ce groupe rassemblait aussi Marty Martin, un ancien membre de la CIA qui avait été chargé de retrouver la trace de Ben Laden, Neil Apert qui avait oeuvré dans un groupe de lobby pro-israélien et l'avocat Randell Wood de Kansas City.
"Nous n'étions pas mus par l'appât de l'argent", a précisé Dirk Borgers qui n'a jamais reçu de réponse de Kadhafi. (belga)
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