La participation des femmes dans les secteurs d’emplois sobre en carbone reste extrêmement faible, particulièrement dans les pays à faible revenu. D’après des études réalisées, les femmes font face à de nombreux obstacles variés d’ordre culturels, sociaux et institutionnels. C’est dans ce contexte que s’est tenu un atelier, ce jeudi 13 mars 2025 qui vise à partager les résultats d’une étude approfondie sur ces barrières.
Soutenu par les principaux acteurs au Sénégal, en l’occurrence FAADEV (Femmes Actrices de l’Avenir pour le Développement et l'Économie Verte), l’objectif est de renforcer la participation des femmes aux emplois liés à la transition énergétique et à faible émission de carbone. Pour bien comprendre le secteur des énergies renouvelables, une cinquantaine d’institutions et de femmes ont été interrogées avec un gros plan sur le solaire et les énergies renouvelables liées au soleil. Ainsi, si l’on tient compte d’une étude menée sur le dernier trimestre 2024 missionnée par un groupe de réflexion anglais( ODI Global) en collaboration avec FAADEV, le Sénégal fait 3.000 heures d’ensoleillement contre seulement une exploitation d’1% du potentiel. Ce qui pour la responsable de projets de recherche de Orange, Servane Fauvet montre une marge pour faire plein de choses pour participer au développement socio- économique du pays. Cependant, pour relever les défis et lutter contre ces obstacles, les participants ont émis un ensemble de recommandations pouvant être intégrées dans les universités, les écoles et les ONG. En terme de chiffres, elle souligne que les acteurs manquent cruellement de données quantitatives pour l’évaluation sur le marché de l’emploi. Mais force est de constater que les filles sont moins présentes dans les filières scientifiques. Sur ce plan, elle annonce qu’un rapport de 6.000 à 7.000 pages de retranscription d’entretien sera mis en ligne afin de permettre à bâtir une nouvelle stratégie pour favoriser l’autonomisation des femmes sur les secteurs du solaire et autres.
Elle considère que les stéréotypes de genre n’ont pas leur raison d’être parce que la femme peut être sur un chantier. Mieux encore, il se crée une formidable coopération entre hommes et femmes sur les chantiers c’est-à-dire que les femmes sont appelées dans les travaux de connexion, de soudure.
Toutefois, elle invite l’État du Sénégal à aider les femmes à être opérationnelles sur le marché de l’emploi.
Soutenu par les principaux acteurs au Sénégal, en l’occurrence FAADEV (Femmes Actrices de l’Avenir pour le Développement et l'Économie Verte), l’objectif est de renforcer la participation des femmes aux emplois liés à la transition énergétique et à faible émission de carbone. Pour bien comprendre le secteur des énergies renouvelables, une cinquantaine d’institutions et de femmes ont été interrogées avec un gros plan sur le solaire et les énergies renouvelables liées au soleil. Ainsi, si l’on tient compte d’une étude menée sur le dernier trimestre 2024 missionnée par un groupe de réflexion anglais( ODI Global) en collaboration avec FAADEV, le Sénégal fait 3.000 heures d’ensoleillement contre seulement une exploitation d’1% du potentiel. Ce qui pour la responsable de projets de recherche de Orange, Servane Fauvet montre une marge pour faire plein de choses pour participer au développement socio- économique du pays. Cependant, pour relever les défis et lutter contre ces obstacles, les participants ont émis un ensemble de recommandations pouvant être intégrées dans les universités, les écoles et les ONG. En terme de chiffres, elle souligne que les acteurs manquent cruellement de données quantitatives pour l’évaluation sur le marché de l’emploi. Mais force est de constater que les filles sont moins présentes dans les filières scientifiques. Sur ce plan, elle annonce qu’un rapport de 6.000 à 7.000 pages de retranscription d’entretien sera mis en ligne afin de permettre à bâtir une nouvelle stratégie pour favoriser l’autonomisation des femmes sur les secteurs du solaire et autres.
Elle considère que les stéréotypes de genre n’ont pas leur raison d’être parce que la femme peut être sur un chantier. Mieux encore, il se crée une formidable coopération entre hommes et femmes sur les chantiers c’est-à-dire que les femmes sont appelées dans les travaux de connexion, de soudure.
Toutefois, elle invite l’État du Sénégal à aider les femmes à être opérationnelles sur le marché de l’emploi.
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