À l’occasion de la fête de Tamkharite, également appelée Achoura dans le calendrier musulman, nous avons rencontré Oustaz Ismaïla Dramé au groupe Alimatou Sadiya, à l'unité 15 des Parcelles Assainies. Ce guide religieux est revenu sur l’importance spirituelle et historique de cette célébration fortement ancrée dans la tradition sénégalaise.
Selon Oustaz Dramé, la Tamkharit commémore le 10e jour du mois de Muharram, une date symbolique marquant plusieurs événements majeurs dans l’histoire de l’Islam, notamment la traversée de la mer Rouge par Moïse et son peuple.
Au Sénégal, la Tamkharit prend également une dimension culturelle forte. Les familles se réunissent autour d’un repas traditionnel à base de couscous de mil et de viande. Les enfants, quant à eux, sillonnent les rues sous divers déguisements les uns plus insolites que les autres en chantant des chansons populaires. « Cette fête est un moment de solidarité, d’éducation religieuse et de communion intergénérationnelle », souligne Oustaz Dramé.
Entre tradition religieuse et pratiques culturelles, la Tamkharite reste une fête pleine de sens pour les fidèles, marquant un début d’année spirituellement fort et porteur d’espoir.
Selon Oustaz Dramé, la Tamkharit commémore le 10e jour du mois de Muharram, une date symbolique marquant plusieurs événements majeurs dans l’histoire de l’Islam, notamment la traversée de la mer Rouge par Moïse et son peuple.
Au Sénégal, la Tamkharit prend également une dimension culturelle forte. Les familles se réunissent autour d’un repas traditionnel à base de couscous de mil et de viande. Les enfants, quant à eux, sillonnent les rues sous divers déguisements les uns plus insolites que les autres en chantant des chansons populaires. « Cette fête est un moment de solidarité, d’éducation religieuse et de communion intergénérationnelle », souligne Oustaz Dramé.
Entre tradition religieuse et pratiques culturelles, la Tamkharite reste une fête pleine de sens pour les fidèles, marquant un début d’année spirituellement fort et porteur d’espoir.
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