Le 15 juillet 2024, soit il y a 7 mois, le président du mouvement AGIR, Thierno Bocoum, alertait sur l’intention du gouvernement « de trouver des prétextes » pour justifier une décision qu’il avait, de toute évidence, déjà prise : la levée des subventions. Après la sortie du Premier ministre, qui s’adonnait à cet exercice de questions d’actualité devant les députés, cette déclaration de l’ancien parlementaire dénonçait « une manœuvre », qualifiée de « subvention ciblée ». Selon Thierno Bocoum, cette mesure vise certaines entreprises, mais risque de frapper durement le secteur privé national, notamment les champions économiques.
Cette mesure liée à la suppression des subventions, telle que conçue par l’actuel régime, est non seulement injuste d’après Bocoum, mais « n’est en réalité que le début d’une série d’attaques contre le pouvoir d’achat des populations, pendant que ceux au pouvoir préservent leurs privilèges intacts ».
Cette mesure liée à la suppression des subventions, telle que conçue par l’actuel régime, est non seulement injuste d’après Bocoum, mais « n’est en réalité que le début d’une série d’attaques contre le pouvoir d’achat des populations, pendant que ceux au pouvoir préservent leurs privilèges intacts ».
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