Le secrétaire Général du ministre de la Femme, de la Famille, du Genre et de la Protection des Enfants, Mame Ngor Diouf, a présidé ce 11 février la cérémonie officielle de la Journée internationale de tolérance zéro face aux mutilations génitales féminines / excision (MGF/E).
Avec l’appui de l’UNICEF, de ONU Femmes ainsi que d’autres partenaires techniques et financiers, la célébration de cette année placée sous le thème « accélérer les investissements pour mettre fin aux mutilations génitales féminines », a constitué un moment fort d’intensification de la communication, de la sensibilisation, du plaidoyer pour un Sénégal sans mutilations génitales féminines d’ici 2030.
Cette cérémonie officielle abritant l’atelier de validation politique de la stratégie nationale pour l’abandon des MGF au Sénégal, est l’occasion pour les différentes ONG intervenants dans le domaine des MGF présents, notamment l’UNICEF et le UNFPA, de partager les objectifs de ladite stratégie pour la période 2022-2030, assortie du plan d’action quinquennal (2022-2026) avec les acteurs institutionnels, la société civile et les partenaires techniques et financiers.
Une stratégie qui vise « un Sénégal sans MGF où toutes les femmes et les filles jouissent de leur droit à l’intégrité physique. »
Infections, saignements excessifs, difficultés à uriner, traumatismes sexuels et psychologiques, sont autant de complications qui découlent de l’excision qui apparaît pour l’OMS comme une atteinte à l’intégrité et constitue également un acte qui défie les droits humains. Il s’agit à cet effet, d’articuler les axes d’intervention autour de cette stratégie pour orienter la planification des programmes, projets et interventions visant à éradiquer les MGF qui sévissent encore.
Diouf va clore son propos en informant le média d’un budget destiné au plan d’action estimé à 4.648.561.331 FCFA pour les cinq prochaines années...
Avec l’appui de l’UNICEF, de ONU Femmes ainsi que d’autres partenaires techniques et financiers, la célébration de cette année placée sous le thème « accélérer les investissements pour mettre fin aux mutilations génitales féminines », a constitué un moment fort d’intensification de la communication, de la sensibilisation, du plaidoyer pour un Sénégal sans mutilations génitales féminines d’ici 2030.
Cette cérémonie officielle abritant l’atelier de validation politique de la stratégie nationale pour l’abandon des MGF au Sénégal, est l’occasion pour les différentes ONG intervenants dans le domaine des MGF présents, notamment l’UNICEF et le UNFPA, de partager les objectifs de ladite stratégie pour la période 2022-2030, assortie du plan d’action quinquennal (2022-2026) avec les acteurs institutionnels, la société civile et les partenaires techniques et financiers.
Une stratégie qui vise « un Sénégal sans MGF où toutes les femmes et les filles jouissent de leur droit à l’intégrité physique. »
Infections, saignements excessifs, difficultés à uriner, traumatismes sexuels et psychologiques, sont autant de complications qui découlent de l’excision qui apparaît pour l’OMS comme une atteinte à l’intégrité et constitue également un acte qui défie les droits humains. Il s’agit à cet effet, d’articuler les axes d’intervention autour de cette stratégie pour orienter la planification des programmes, projets et interventions visant à éradiquer les MGF qui sévissent encore.
Diouf va clore son propos en informant le média d’un budget destiné au plan d’action estimé à 4.648.561.331 FCFA pour les cinq prochaines années...
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